Plus loin que le rêve…la réalité !

J’entends sourdre des projets sociaux fondés sur une utopie : le contrôle des technologies viendrait satisfaire tous nos désirs. Fi des expériences de vie qui nous font rencontrer nos besoins essentiels et, à l’intérieur de nous, les ressources pour les satisfaire !

Noël tous les jours ! Toujours plus de technologie pour enchanter le quotidien…chacun dans son coin ! Avons-nous oublié que Noël est une fête pour les enfants ?

Est-ce que nos journées vont célébrer un optimisme fou au service d’une Loi de l’attraction où tout doit changer sans implication véritable : un « je veux-j’ai » bloqué dans le principe de plaisir du petit enfant ? Peu importe si le monde d’avant s’effondre car dans le monde d’après ce sera comme je veux .

Devenir le maître du monde ne soigne pas les blessures psychologiques.

Nous ne voulons plus avoir faim, froid, sommeil, souffrir…comme les robots…

Mais les technologies que l’on nous promet sont conçues par des humains à partir d’eux-mêmes.

Dans cette série « Westworld » le concepteur (Anthony Hopkins) a créé, pour pallier ses manques, des personnages et leur exprime : « Tu es dans mon rêve…aucun choix n’est possible ».

À ceux qui ont envie de vivre leur propre vie, l’Approche Quantique du Rêve Éveillé Libre propose de regarder le rêve ainsi :

Rêve : R ève, la mise en mouvement (R) de la vie dans la personne, puisque EVE se lit, par la matrice, se fit homme. Ici le rêve a pour fonction de renouveler le dynamisme de l’être en le reconnectant à l’univers intime qui le fonde. (Luc BIGÉ)

Et ce, afin de créer une réalité humaine :

Réalité : Ré alité, un dieu (Ré) couché (alité) ou encore une note (ré) allongée (alitée). Ainsi notre réalité serait le corps endormi d’une divinité. Cela, le mythe babylonien de la création nous l’expliquait déjà en décrivant notre univers physique comme le corps d’un dieu mis à mort par ses pairs. De son côté, l’indouisme décrit l’univers comme étant créé par le son OM primordial. Si jamais celui-ci venait à s’interrompre, le monde disparaîtrait totalement. Par une extraordinaire magie du langage un seul mot, la « réalité », condense en seulement sept lettres les secrets de ces deux grandes cosmogonies. Un jour, peut-être, nous verrons ce principe debout, dans toute sa lumière (Ré, solaire) et son harmonie (ré) pour manifester une Ré a lité, un principe (Ré) sans (a) lit, une pure note de lumière. (Luc BIGÉ)

Nadjejda Tretiakoff

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La couleur de l’âme serait-elle le bleu ?

L’Intelligence Artificielle nous promet des jours heureux où nous n’aurons plus de soucis qui ne soient réglés « sans notre intervention ». Un « go fast » permanent où tout se décide à l’insu de notre plein gré mais avec notre pleine coopération…s’impose à coup d’applications toujours plus intrusives.

Dans Intelligence Artificielle, il y a « artifice » : l’art de tromper, moyen habile et plus ou moins trompeur, une ingéniosité opposée au naturel…L’IA voudrait faire de nous des machines augmentées assujetties à des référents extérieurs connectés à notre bonne santé, nos aptitudes physiques et psychiques, nos élans amoureux, nos désirs d’enfants, nos rêves…pour notre bien !

Pour nous adapter construisons-nous des avatars, en sanskrit « incarnation d’un dieu sur Terre ». Oublions que nous sommes tous handicapés de quelque chose…principalement des handicapés de l’amour…pour nous illusionner dans une perfection inhumaine !

Que vont devenir l’intuition, l’instinct, l’âme dans cet avenir transhumaniste ? Avons-nous, à ce point, perdu l’essentiel de nous-mêmes ? Et tout ceci aboutirait à renier notre capacité en notre pouvoir de transformation personnelle…

Ce pouvoir est là, disponible et n’attend que nous…il ne se vivra pas sans nous ! Ce pouvoir c’est l’Intelligence de Vie !

Plutôt qu’une réalité augmentée, l’Intelligence de Vie propose une Conscience amplifiée de nos ressources intérieures.

L’Approche Quantique du Rêve Éveillé Libre est un espace de rencontre avec soi-même, en relation avec l’Autre, avec un environnement naturel. Les symboles nous emmènent à la découverte de l’Être singulier que chacun d’entre nous est. Cet espace est sans limite à l’intérieur de nous et nous invite à nous émerveiller de nos potentiels. Des champs quantiques informationnels nous relient à notre unité. Tout est possible dans une cohérence humaine !

Est-ce pour cette raison que le peuple des Na’vi sur la planète Pandora, a la peau bleue ?

Les Na‘vi ont conservé cet accord avec eux-mêmes si précieux…leur âme !

Nadjejda Tretiakoff.

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La Conscience du futur

Si un poussin peut influencer la trajectoire d’un petit robot programmé pour effectuer des parcours aléatoires, que pourrait réaliser un être humain décidé à expérimenter les possibilités de sa Conscience ?

Créer un avenir avec un libre arbitre de Cohérence ? d’ Harmonie ? de Vivance ? de Reliance ? de Merveilleux ?

Le futur peut être modifié sous l’influence de notre Conscience individuelle et/ou collective.

Et si cet être humain devenait un collectif de Conscience…

Voici l’apport de la science quantique : nous pouvons passer du possible au réalisable à partir de notre Conscience et de la responsabilité de nos pensées. Les pensées qui viennent du cœur sont magnifiquement branchées sur un futur qui n’attend que nous…peu importe le chemin.

L’Approche Quantique du Rêve Éveillé Libre nous relie à nos potentiels insoupçonnés qui existent déjà.

Nadjejda Tretiakoff

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Notre réalité est émotionnelle !

Que voyez-vous dans cette petite histoire ?

La cruauté de la vie ? La beauté de la vie ? L’abandon ? L’entraide ? La solitude ? Le partage ? L’avidité ? Un chemin initiatique ?

Ce que nous pensons réel n’est que la projection de nos émotions…nos émotions changent…au gré de nos expériences de vie…et de la perception de ce qui nous touche à un moment donné.

Tout évolue, en nous comme à l’extérieur de nous, avec des rencontres, des informations nouvelles…

Ce que nous croyons réel et pour lequel nous serions prêts à en découdre est avant tout une perception émotionnelle. Une émotion particulière nous habite depuis notre plus tendre petite enfance et nous pousse à être revécue sans cesse dans chaque relation, chaque situation.

Nous abordons nos vies d’adulte avec nos émotionnels d’enfant…jusqu’au chaos.

Lorsque nous serons réellement adultes, nos choix de vie correspondront à nos aptitudes de création…d’adultes.

Nadjejda Tretiakoff

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Murmure

Le murmure ne reconnaît pas le haut mur,

Il gémit parfois, rit aussi, il susurre,

Sans intention, il se moque de ce qui perdure,

Il voyage, transperce le son, dans son élan, dure.

Dans les bras du vent, les Esprits de la nature,

Sans impatience mais vifs, m’apportent le son pur,

Mon âme s’élève en pleine lumière, je le jure,

Je suis dispersée, atomes, dans le futur.

A la rencontre du Grand Esprit, j’abandonne

Les questions, les quêtes, les craintes, je me donne

De toute ma puissance de femme, de louve,

J’accueille la déflagration, je me retrouve.

Le murmure triomphant rejette les épures,

Il ne se laissera pas définir, c’est sûr.

Le silence est son berceau, le vide son armure,

Dans un ciel azur, il choisit l’aventure.

                                          Nadjejda Tretiakoff

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En cas de dépression…

Vous connaissez, peut-être, ces recommandations lorsque vous prenez l’avion : « En cas de dépressurisation (dépression) de la cabine, un masque à oxygène tombera automatiquement à votre portée. Tirez sur le masque pour libérer l’oxygène. Placez-le sur votre visage. Une fois votre masque ajusté, (et seulement à ce moment-là), il vous vous est possible d’aider d’autres personnes… »

Dépression : D’E pression, une personnalité (E) qui cherche à sortir d’elle-même (D) mais en est empêchée par la pression de circonstances extérieures. La dépression signe un blocage dans l’expression de soi et de la nouveauté que l’on porte en gestation au fond de son cœur. Également, « dépressif », D’E près si F, la personne se rapproche de son feu intérieur, de quelque chose d’essentiel pour elle, mais a le sentiment de ne pas encore pouvoir l’atteindre (si près du feu). La dépression sera, alors, un processus initiatique de passage du E vers le F, le retournement de la personne vers le feu intérieur de son âme (Luc BIGÉ).

Après cette lecture, peut-être que ce moment de vie empreint de tristesse, de culpabilité, d’un sentiment (du senti qui ment) de dévalorisation, et tourné vers un passé dans lequel nous nous sentons coincés, prendra une autre couleur, une couleur à inventer…

Ce que nous croyons perdu, un territoire, un amour, un rêve, une image de soi, une réputation, une famille, de l’air, de l’espace…demande à être réactualisé. Ce conflit intérieur qui consomme notre énergie de vie demande à être regardé, comme les consignes de sécurité de l’hôtesse dans l’avion, alors que nous détournons le regard en pensant, ou en espérant, ne pas être concernés.

Nous détournons le regard car il y a toujours quelque chose ou quelqu’un qui nous semble plus important que nous-même. Les autres d’abord…parfois avec l’espoir secret qu’ils nous en seront reconnaissants…bref la définition du sacrifice volontaire…pour la gloire !

J’ai une autre proposition : LES AUTRES D’ACCORD, MAIS MOI D’ABORD !

Ce n’est pas de l’égoïsme, c’est de l’intelligence de vie. Si vous ne commencez pas par vous-même, ce que vous donnez s’appelle du chantage affectif, certainement pas de l’amour.

Cette dualité à l’intérieur de nous qui nous fait croire que nous, c’est du vide, nous invite à rencontrer le plein de nous, à découvrir nos potentiels, à prendre conscience de notre valeur intrinsèque. Il y a de l’or en chacun d’entre nous. La dépression a un message :  « revenez dans le mouvement de votre vie ! ».

Revenir dans notre vie nécessite beaucoup d’énergie et l’accompagnant est la personne avec laquelle il est possible de passer de l’entropie, le désordre à l’intérieur de nous, à la cohérence entre nos pensées, notre ressenti et notre agir. L’accompagnant AQ-REL® se met à la disposition du transfert d’informations qui crée la vie en transformant le chaos.

La dépression invite à modifier la relation à soi-même avant tout. Nous ne pouvons rayonner qu’à partir de notre centre et cette énergie qui émane du plus profond de nous est disponible, en attente de notre réveil. Notre (r)évolution est notre oxygène !

Nadjejda Tretiakoff

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Etreinte

Etreinte désirée, je me sens à l’étroit,

Mon âme se souvient de l’odeur de la cage,

Les barreaux, la pénombre, l’absence, l’effroi,

L’impossibilité de se mouvoir, la rage.

Vulnérable, incrédule et encore là,

Regard vide, ligotée dans mes espérances,

Un cri d’enfant dans la gorge et le cœur las,

Epuisée, je cherche à rompre l’allégeance.

Je résiste, mes larmes cognent aux paupières,

Toutes-puissantes, elles supplient la liberté,

D’exhumer la petite fille mise en terre,

L’espoir trépasse…je sais, on ne guérit jamais.

Nadjejda Tretiakoff

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Le salaire de la peur : démonstration par l’absurde

En langue des oiseaux (Luc Bigé) la peur est peu R (peu d’air) manque de respiration, manque d’espace (peu d’aire), manque de capacité à aller sans but vers l’aventure (peu d’erre) et peu de temps pour vivre tout cela (peu d’ère).

La peur serait la recherche d’une paix initiale (FAUX SOUVENIR), le résultat d’un enfermement dans un paradis artificiel…où rien ne se passe jamais et l’expression d’un sentiment contradictoire : un désir de prendre tout son air…joint à l’impression d’un manque (UNE IMPRESSION) et de ne pouvoir y arriver.

Au tout début était la peur archaïque car dans son environnement naturel, l’homme était confronté à un danger réel : la fameuse loi de la jungle. Les faibles ne survivent pas et les prédateurs sont légion. L’illustration la plus connue est celle de l’opossum qui sait simuler la mort à s’y méprendre en ralentissant à l’extrême son rythme cardiaque jusqu’à copier la rigidité cadavérique. Son corps va sécréter une odeur de putréfaction telle qu’elle dissuade le prédateur de tout festin.

Notre cerveau archaïque, qui copie l’animal, peut nous leurrer avec un semblant de danger de mort et nous faire réagir comme le petit opossum, en bloquant toute vie à l’intérieur de nous. Au niveau physique comme au niveau psychique, nous nous pétrifions en attendant que le danger soit passé. Malheureusement, le danger, souvent une interprétation erronée de la situation, perdure et notre immobilisme avec lui. La stratégie de protection est devenue une prison, un camp de la mort.

Dans nos sociétés modernes, à la peur du prédateur, sont venues se substituer d’autres peurs.

La peur du manque de satisfaction des besoins essentiels. Je renvoie, ici, à la pyramide de Maslow : les besoins primordiaux ; la nourriture, l’eau, l’air, le sommeil, le territoire, la sécurité, faire partie d’un clan, donner du sens à sa vie et surtout ÊTRE AIMÉ, AIMER…et S’AIMER !

« Quelle que soit la cause apparente de la peur dans le REL, l’interprète averti découvrira sans peine qu’elle n’est qu’un masque posé sur la peur de la mort ». (Georges Romey)

Et lorsque la peur surgit, la violence devient assez rapidement, la réponse automatique. Violence envers l‘autre mais aussi envers soi-même avec la somatisation.

La mémoire de la peur est engrammée dans chacune de nos cellules et nous espérons que vivre malgré la peur soit une preuve de supériorité : seuls les dominants s’en sortiront en étant payés aux dépens des dominés par toute sorte de matérialités ( argent, pouvoir, possessions de biens…) .

C’est une quête de prises de conscience qui peut nous permettre de vivre autre chose.

La première prise de conscience est que notre libre-arbitre, dans le vortex de la peur, est inexistant. Je me réfère, ici, à la science quantique qui nous démontre que nous dépendons les uns des autres : nous sommes constitués de milliards d’électrons porteurs de champs d’information en mouvement, qui s’intriquent, s’enchevêtrent dans un espace quantique où toutes les ressources nécessaires sont à notre disposition, en partage. Des informations rayonnent de l’intérieur de nous vers l’extérieur. À aucun moment, nous ne sommes séparés les uns des autres : nous sommes liés, instantanément reliés. Alors la peur de ne pas exister ou de mourir qui nous pousse à déposséder l’autre, n’a aucun sens.

Le lieu de rencontre entre nous et l’autre, même lorsqu’il s’agit d’un conflit, est l’opportunité d’un saut quantique. La pression nous invite à créer du nouveau, pas du contraire.

L’Intelligence de Vie nous démontre que l’ennemi ne vient pas de l’extérieur, une compétition absurde alimente la peur, mais bien de l’intérieur dans notre refus à créer du nouveau. « J’évolue parce que tu grandis…plus je grandis, plus tu grandis…plus tu grandis, plus je grandis » ( Stephane Drouet).

Nos électrons se sont déjà rencontrés maintes fois et ont conservé la mémoire de nos échanges et en souvenir de Lavoisier : « Rien ne se perd, rien ne se gagne, tout se transforme et se conserve ».

Nous ne possédons rien qui n’appartienne déjà à tous. La peur nous berne en nous faisant croire que nous serons enfin heureux lorsque nous posséderons encore plus. Plus de reconnaissance, plus de gratitude, plus de valeur, plus « d’amis », plus d’amours…(plus d’emmerdes…).

Cette peur, nous la nourrissons sans cesse avec nos pensées.

«  Des études psychologiques récentes venant des États-Unis mettent en évidence que nous émettons environ 60 000 à 70 000 pensées par jour et que 99% sont les mêmes que la veille. En d’autres termes, nous recréons du passé en permanence ». (Stephane Drouet)

On comprend mieux pourquoi nous sommes épuisés par nos journées même si nous ne faisons rien…

Il nous reste 1% pour faire l’expérience du saut quantique en reliant notre inconscient individuel à l’inconscient collectif, champ d’information et de Vie, et en célébrant la rencontre conscient-inconscient d’où émanera notre créativité. Toute rencontre n’engendre pas un conflit !

C’est ce que je vous propose avec l’Approche Quantique du Rêve Éveillé Libre : aq-rel

Dans le REL, nous accédons, à travers les symboles, à de nouvelles informations qui nous attendaient…Dans ce vide, qui n’en est pas un (je vous renvoie à la lecture de présentation du site aq-rel.com), l’illusion de l’instabilité de nos ressentis est traduite par un scénario où tout devient clair car la peur n’y a pas accès.

La thérapeute que je suis, a la réputation d’être directe, pas d’être conventionnelle. C’est le rôle du thérapeute, à mon sens, de s’offrir au saut quantique. Ce mouvement vital ne se fait pas toujours dans la douceur. C’est l’état d’esprit nécessaire à la remise en mouvement de la Vie, mouvement qui passera coûte que coûte !

« La peur, l’angoisse qui se manifestent dans les productions oniriques sont des avatars d’une seule crainte : celle provoquée par la conscience que le processus d’évolution de la psyché, condition de réalisation de l’être, conduit aussi fatalement, au terme ultime de la dissolution du moi. La sérénité exige une adhésion confiante à l’imprévisible devenir, au mystère de la vie et de la mort ». (Georges Romey)

Nadjejda Tretiakoff

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Dans les hautes herbes

Parfum de muscade, de mousse et de terre,

Les sensations me traversent, je me laisse faire.

L’infiniment petit est ma porte d’entrée,

Un microcosme vit, offert, à ma portée.

Je me suis faite petite pour ne pas déranger,

La nature m’a faite grande, dilemme à négocier.

Pour ma sécurité, j’ai le goût du détail,

Face à l’immensité, je mène ma bataille.

Mes boucles dorées vibrent telles des antennes,

Libellule inspirée, les ailes en arc en ciel,

Je glisse sur une eau, miroir aux mille reflets,

Kaléidoscope étrange, ô combien j’aime,

Mes visions lucides de passages grand ouverts,

Sur un monde sans filtre pour enfants en paix,

Ici tout est translucide, ici tout est vrai,

Je crée à volonté, je me vois, j’en suis fière.

                                                 Nadjejda Tretiakoff

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Into the Wild

L’histoire vraie de Christopher McCandless est celle d’un enfant ” naturel “, (illégitime car né hors mariage) qui veut se perdre aux fins fonds de la nature pour se trouver… Cette nature va l’empoisonner et il y trouvera la mort.

L’attitude du père de familles (car il navigue sans vergogne entre deux familles à coups de mensonges et de violence) détermine la construction ” sans père ” finalement d’un homme ” sans racines “.

Les souffrances sont réelles pour un homme qui grandit aux côté d’un père violent. Dans cette histoire, le positionnement dans la lignée du père finit par être rejeté et seule la mort pourra l’en dégager.

Film écrit et réalisé par Sean Penn d’après l’œuvre de Jon Krakauer.

Nadjejda Tretiakoff

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