Into the Wild

L’histoire vraie de Christopher McCandless est celle d’un enfant ” naturel “, (illégitime car né hors mariage) qui veut se perdre aux fins fonds de la nature pour se trouver… Cette nature va l’empoisonner et il y trouvera la mort.

L’attitude du père de familles (car il navigue sans vergogne entre deux familles à coups de mensonges et de violence) détermine la construction ” sans père ” finalement d’un homme ” sans racines “.

Les souffrances sont réelles pour un homme qui grandit aux côté d’un père violent. Dans cette histoire, le positionnement dans la lignée du père finit par être rejeté et seule la mort pourra l’en dégager.

Film écrit et réalisé par Sean Penn d’après l’œuvre de Jon Krakauer.

Nadjejda Tretiakoff

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Délicate la fleur fane le fruit désire mûrir !

Je rampe, je cours, je galope, je vole,

J’hume la terre, l’herbe humide, je foule le sol,

Je glisse, racine profonde, liane jusqu’au col,

Je glisse, je me décompose, je perds le pôle.

Là-bas, Aurore, tu ouvres les portes du ciel.

Ici, Espoir, cœur léger, je recueille le miel.

L’âme libérée d’un amour providentiel,

De l’autre côté, l’hiver en été au pluriel.

Force docile, déterminée, plus encore.

Un souffle fait vibrer tes cordes, mandore.

Des bulles de joie vous défient, multicolores,

Lois de la Vie, réveillez celle qui dort,

Pour, en boutons dorés, à nouveau, éclore.

Nadjejda Tretiakoff

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A Dangerous Method

Le triangle infernal.

Freud et Jung… comment deux expérienceurs de la psyché ayant subi l’inceste dans leur enfance ont été soumis, tôt ou tard, aux répercussions de ce traumatisme sexuel… ?

Aujourd’hui, il n’est plus possible de cacher l’inceste que Freud a vécu, imposé par son père. Dans une lettre à Wilhem Fliess datée du 8 février 1897, Freud fait état de « la fellation forcée qui provoque des symptômes chez ceux qui l’ont subie…malheureusement, mon propre père a été l’un de ces pervers et a été responsable de l’hystérie de mon frère et de celle de quelques-unes de mes plus jeunes sœurs ». Freud, coincé dans sa propre analyse où remettre en cause ses parents était refoulé, écrira bien plus tard douter que lui-même n’ait pas, comme ses frères et sœurs, subi l’inceste du père.

Dans « Correspondance », Jung livre à Freud qu’un acte similaire a été commis à son encontre par un responsable religieux et nombres de ces oncles étaient des pasteurs.

Freud et Jung étaient habités par la même terreur de devenir eux-mêmes abuseurs.

En aparté, ici, je rappelle aux thérapeutes qu’ils sont les représentants des images parentales, quelle que soit la technique utilisée. Cela signifie, en clair, qu’il leur est impossible d’entretenir une relation amoureuse ou sexuelle avec un patient, au risque de se trouver dans la position du parent incestueux.

Jung a, à mon sens, transgressé ce principe avec Sabina Spielrein. Jung était un abuseur dans cette relation. Le déni de l’adulte psychanalyste a laissé l’enfant victime en lui, revivre le traumatisme sexuel.

Freud décèdera dans une grande souffrance, d’un cancer de la mâchoire. On peut y déceler si l’on est adepte du décodage biologique, un symptôme d’une fellation forcée.

Dans ce film de David Cronenberg, la rivalité des deux hommes est abordée autour d’une femme mais c’est sous l’angle du triangle infernal…le parent, l’enfant et la sexualité que je perçois leur terreur d’enfant de répéter ce qu’ils ont vécu.

Nadjejda Tretiakoff.

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Se libérer de la détention psychologique

Il ne s’agit pas, ici, de la détention qui prive de liberté, suite à une décision de justice.

Il s’agit d’une détention perfide, engrammée au plus profond d’un être qui se sent enfermé dedans et enfermé dehors.

L’engramme est le résultat de modifications électriques et biochimiques qui stimulent les connectivités nerveuses. La mémoire, l’apprentissage et le comportement sont interdépendants. L’épinéphrine, la beta endorphine et l’ACTH relâchées pendant un stress intense génèrent l’encodage d’un comportement ou d’une croyance. L’hyper émotion crée une hyper mémoire erronée :  l’engramme s’exprime par « c’est plus fort que moi ».

La détention psychologique est la conséquence d’ une violence répétée qui ne laisse pas de trace visible. Une violence qui contraint un enfant à obtempérer sous la menace.

L’enfant se sent en captivité sensoriellement car les stimuli ciblent une zone particulière, visuelle ou auditive, principalement. C’est aussi une captivité perceptive car sous l’effet de ces stimuli, les informations reçues étant contradictoires, impossible de discerner le vrai du faux.

La capacité mnésique s’en trouve aussi limitée. Se souvenir peut être perçu par l’inconscient comme un empêchement à maintenir l’intégrité physique et psychique : l’ennemi est dans la maison ! L’adulte, par la suite, adapte son mode de fonctionnement avec son environnement, ses capacités de communication, ses réflexes d’interactions sociales, en écho à un effet cumulatif de violences invisibles. Très simplement, la personne ne se sent pas en sécurité car son cerveau la maintient dans l’angoisse d’un danger imminent, dans une prison émotionnelle.

On peut se demander si les addictions aux jeux vidéo ne seraient pas une pratique désespérée pour s’approprier des super pouvoirs, des armes, et jouer, en gagnant cette fois, contre un envahisseur dangereux. En rejouant à l’infini, on pourrait modifier la fin et vaincre, pour une fois, un danger omniprésent.

Ce danger, c’est celui que représentent les images parentales lorsque les parents ont été insuffisamment bons, absents, défaillants, maltraitants, toxiques, pervers, abuseurs…Et le seul acte répréhensible de l’enfant serait de désirer être aimé tel qu’il est…d’avoir un besoin vital d’être respecté.

Le mot magique est « image ». C’est intéressant ; image et magie s’écrivent avec les mêmes lettres…

« Imago paternelle et imago maternelle sont des représentations qui se fixent dans l’inconscient et orientent le mode de conduite et d’appréhension d’autrui ».

Le REL ( Rêve Éveillé Libre) propose à travers un cheminement symbolique, de : « Se reconstituer des racines généalogiques satisfaisantes » « Une recherche de positionnement équilibré de la psychologie par rapport aux images parentales » «  Faire l’expérience de la Totalité » «  Accès à l’autonomie et libérations des sentiments réels » «  L’ambivalence attachement/détachement » « Un agrandissement de l’être et un renforcement du sentiment d’identité » «  Le couple parental vécu comme ce qu’il est et non plus comme deux acteurs d’un drame » …( Guide des rêves de Georges Romey).

Le cheminement à travers une cure de REL génère de nouveaux apprentissages. Il ne s’agit pas d’oublier. Les symboles déposés dans les rêves encodent de nouvelles possibilités car l’influx nerveux qui produit ces images sollicite le développement de nouveaux neurones de liaison, de nouveaux contacts synaptiques.

La magie est là : c’est en créant de nouveaux chemins que les anciens deviennent désuets car non utilisés. Par choix, en s’impliquant, une autre réalité devient possible. Le danger n’est plus imminent, en fait, il a déjà eu lieu ! L’inconscient, avec le REL, opère une « mise à jour ».

AQ-REL ( approche quantique de rêve éveillé libre) propose de s’échapper de la détention psychologique en empruntant des chemins de liberté !

Nadjejda Tretiakoff

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Entre mes mains

J’imagine…Papillons de nuit et du soir,

En exil du labyrinthe, libérés de l’espoir,

Notes vibrantes sans clé jouant dans le noir,

Osent les froissements d’ailes, savourent leur pouvoir.

Je rêve…Entremêlés chien et loup sans fard,

Souffles crépusculaires, fantômes brouillards,

Je vous esquive, intriguée, nobles vieillards,

Je me faufile, disparaître est un art.

Je crée…Bleu de mer, univers insondable,

Pourpre profond, je me rends désirable,

Ocre vénusien, beauté impalpable,

Noir mouvant… lumière inaliénable.

                       Nadjejda Tretiakoff

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Avant de partir pour le Grand Après…

Quelques années avant “ SOUL ” de Pixar, le cinéma nous interpelait sur le sens à donner à notre vie tant que nous pouvons agir et modifier nos comportements, avec ce merveilleux film “ NOSSOLAR “

IL EST URGENT D’ÊTRE VIVANT !

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Le Grand Oiseau Blanc

L’écho du chant de la Vie porté par le vent,

Souffle imperceptible, murmure des Mâtines,

S’offre à moi le messager du Grand Oiseau Blanc,

Avant les Vêpres, je danserai, mutine.

Parcelle multimillénaire, à mon tour,

Impatiente de jouer dans le grand cirque,

Mon numéro de trapéziste au cœur lourd,

Sans filet, tête haute, je prendrai tous les risques.

Emplie jusqu’à l’âme, avant le soleil couchant,

Le salut humble, le sourire léger, alors

Je m’envolerai, Oiseau Blanc, au jour mourant,

Dans une pirouette, je quitterai mon sort.

                                            Nadjejda Tretiakoff

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Le rituel de l’amour

Le rituel, en sanskrit, est une articulation, un geste sacré à un moment déterminé.

C’est le moment juste où l’inconscient individuel a besoin de l’inconscient collectif cher à Gustav Jung.

C’est la demande intentionnelle posée dans le Monde du Milieu qui active les neurones entre eux afin que l’inattendu rejoigne le possible dans les Mondes d’en Haut et d’en Bas.

L’intention trouve son efficacité dans la synchronisation des cerveaux du chamane et du patient.

Nos sociétés, dites civilisées, ont banni les rituels en les reléguant au rang d’un primitif archaïque.

Mais sans le rituel, il ne peut y avoir de conscience de l’avant, du pendant et de l’après.

Le rituel ponctue un évènement et lui donne une direction. L’intention posée dans le rituel génère une énergie insoupçonnée et un pouvoir créateur illimité.

Le chamane est un expert du rituel. Son tambour, son chant l’accompagnent dans toutes les étapes du voyage. Ses Esprits Alliés balisent son chemin de rêve où une autre réalité se dessine, perceptible grâce à la confiance aveugle placée dans l’invisible.

Cette confiance émane du cœur du chamane et est proposée au cœur du patient.

Le rituel est rigoureux : il nécessite une véritable demande consciente, des actes et une foi inébranlable dans la réalisation.

Demandez-vous ce que vous désirez modifier dans votre vie…visualisez la concrétisation du changement…observez les ressentis partagés par votre corps…est-ce qu’ils ressemblent à une sensation d’ouverture, de joie, d’optimisme…ou plutôt une sorte de contraction voire-même de peur ; si c’est le cas, réitérez votre demande jusqu’à ressentir un accord à l’intérieur de vous…et puis mettez en place les étapes que vous vous invitez à vivre.

Tous vos sens sont à présent en action et votre inconscient commence à intégrer les étapes du changement. Il ne vous reste plus qu’à vous demander si vous serez le premier à l’ observer ou si un proche vous le signalera…

La clé de la réussite réside dans l’amour !

J’ose, ici, proposer l’amour  comme énergie inspiratrice et créatrice.

Pour Luc Bigé ( Petit dictionnaire en Langue des Oiseaux) Amour : « Ame our » la lumière de l’âme. Plus littéralement, il s’agit de la force créatrice (A) manifestée (M) dans la totalité d’une situation (O) qui s’ouvre à tous les possibles (U) et diffuse ensuite dans toutes les directions (R). Donc l’amour suppose un triple mouvement : un élan vers l’autre dans sa totalité, l’ouverture de notre conscience à tout ce que nous n’avions pas vu et un dynamisme partagé. »

Pour Georges Romey ( Le guide des rêves) « … Dans le vocabulaire d’images, les termes amour et aimer agissent à la manière d’un aimant. Ils manifestent l’attraction qui tend à rapprocher des potentialités de sens contraires. L’amour, dans la dynamique de l’imaginaire, assume une fonction d’union des opposés. Autour des mots amour, aimer, rêveuses et rêveurs expriment un sentiment de rapprochement de valeurs contraires et la transformation de ces antagonismes en complémentarités.

La mort et la vie, le bien et le mal, l’animus et l’anima, les mouvements centripètes et centrifuges et tout ce qui s’oppose ordinairement apparaissent soudain comme les éléments complémentaires qui concourent aux équilibres sans lesquels la vie ne serait pas.

Cette acceptation de l’amour, telle que la révèle l’observation des rêves (…) décuple la force de ce mot en faisant de l’amour le grand unificateur, une sorte de chef d’orchestre des énergies universelles ».

Pour Khalil Gibran ( Le prophète) « Parlez-nous de l’Amour…Quand l’amour vous fais signe, suivez-le,

Bien que ses voies soient dures et escarpées.

(…) Et lorsqu’il vous parle, croyez en lui,

Malgré que sa voix puisse briser vos rêves comme le vent du nord saccage vos jardins.

(…) L’amour ne donne que de lui-même et ne prend que de lui-même…

(…) Car l’amour suffit à l’amour… ».

Pour Alain Rey ( Dictionnaire historique de la langue française) « Amour à l’origine est du genre féminin… et le premier emploi du mot parle de bienveillance divine… »

L’amour répond aux lois de la science quantique. C’est une matière invisible qui bénéficie de son propre libre-arbitre. Cette holomatière traverse les distances et les obstacles. Elle est non-locale, non séparable. Elle vibre et rayonne. Elle est imprévisible. Elle interagit entre nous, notre conscience et le reste de l’univers. Elle se moque de la ligne du temps : elle voyage dans le passé pour modifier le futur. Son énergie est intelligente, se nourrit de l’intention qui émane du cœur et nous rappelle que nous sommes solidaires les uns des autres dans le but d’une cohérence harmonieuse.

L’amour est thérapeutique. Le chamane appelle, avec humilité, sa puissance guérisseuse. Ainsi paré, il voyage et rencontre les mal-êtres et les maladies pour en revenir avec les informations nécessaires à son patient sur son propre chemin initiatique. Il fusionne, dans cette aventure meta-humaine, avec une mémoire originelle, des quanta enchevêtrés, intriqués. C’est une mémoire d’avant la maladie. L’âme, l’esprit et le corps du chamane comme ceux du patient coparticipent à cette dynamique qui tend vers l’unification de l’Être. Mais seul le patient pourra agir sur son devenir.

N’en déplaise aux sceptiques, ce pouvoir de l’amour est avant tout électro-magnétique et peut être mesuré par un électrocardiogramme en synergie avec l’électroencéphalogramme.

Ce champ d’énergie reconnaît une intention et y répond. Mais plus important encore, ce champ d’énergie influence la matière.

Alors, il est temps de créer nos rituels de l’amour et de veiller à nos demandes car elles sont très souvent exaucées !

Nadjejda Tretiakoff

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En équilibre

J’inspire et je reçois à l’intérieur de moi,

La lumière éternelle, les étoiles et la lune,

Au firmament divin, pas de sang, pas de croix,

Ni tristesse ni colère, ni émotion aucune.

J’expire, je me dilue, le temps tombe en poussière,

Le néant invisible à mon regard en quête,

Ouvre les sentiers, relâche les regrets d’hier,

Efface toutes les règles et les rôles qu’on me prête.

Je retiens, gourmande, ce souffle de vie, pur.

L’apnée me fait vibrer, ses ondes me réveillent.

Je sens la Vérité : je sens que rien n’est sûr.

Instincts aux aguets…la vie en moi s’éveille.

                                                              Nadjejda Tretiakoff

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Le Petit Prince navigue en syndrome d’Asperger…

Les praticiens en Rêve Éveillé Libre ont peut-être rencontré dans les rêves de leurs patientes/patients, ce personnage énigmatique.

Georges Romey, à qui nous devons ce merveilleux outil qu’est le REL, écrivait :  « Le Petit Prince est une version moderne de l’angelot…il témoigne de la persistance du sentiment de l’innocence première. Il manifeste le souvenir de l’âme inaltérable venue s’incarner dans un corps qui subsiste, intacte, sous la gangue composée par les catégories valorisantes et les justifications du mental. Il incarne la certitude de l’appartenance de l’être à un « autre monde » non conditionné par les repères réducteurs de la raison. Sur ce plan, il laisse soupçonner son étroite complicité avec le Vieux Sage, ce dernier étant aussi l’exposant d’un univers dans lequel le bien et le mal ne sont pas à la mesure réductrice de l’intelligence humaine. Le Petit Prince et le Vieux Sage appartiennent à ce monde inaccessible où le « sens de la vie » qu’il n’est pas donné aux créatures de la Terre de comprendre, confère aux pensées et aux actes leur dimension juste…Le Petit Prince expose la confrontation entre deux mondes : celui de la Terre, de la matérialité, de l’insertion dans un parcours de vie balisé par les repères de Temps et d’Espace, et celui du ciel, c’est-à-dire d’un accomplissement psychologique qui requiert l’instauration d’une relation confiante aux mystères de l’éternité, de l’infini et de l’imprévisibilité du destin.

Le Petit Prince est de cet univers où le vide n’est pas le rien, où le rien n’est pas le néant !

De ce fait, le symbole peut être apprécié comme un indice de dissipation de l’une des sources fondamentales du mal-être ; l’angoisse métaphysique ».

Le Petit Prince est un enfant perdu. Il regarde le monde d’une façon qui lui est propre. Il ressent très fort certains de ses sens et est effrayé par d’autres. Il n’est pas intéressé par les choses comme un enfant de son âge. Il semble fasciné par ce que lui seul perçoit et alors sa pensée ne trouve pas de repos. « Dessine-moi un mouton… ». «  Il ne renonce jamais à une question ». Peu lui importe si son sens du détail, sa capacité de concentration sur un sujet, dérangent : il persiste « S’il vous plaît…dessine-moi un mouton ».

C’est un enfant qui ne souhaite pas grandir, pas vieillir, ce serait pour lui prendre conscience qu’il dépend des autres, de leurs encouragements, de leur amour.

Le Petit Prince regarde les couchers de soleil sans jamais se lasser, c’est une routine, comme pour rencontrer sa propre tristesse et tenter d’apprivoiser la réalité de la mort à travers ce soleil qui meurt chaque soir…Il devient solitaire parfois jusqu’à l’enfermement dans son propre univers.

Le Petit Prince habite une planète différente. Sa curiosité pour les autres planètes le conforte dans l’étrangeté qui l’entoure, « Les grandes personnes sont bien étranges… » mais son émerveillement l’emmène là où personne ne regarde.

Aux praticiens en REL, je propose de regarder la rêveuse/le rêveur qui se laissent surprendre par l’apparition du Petit Prince dans un scénario de REL, avec une attention particulière et de s’interroger sur les indices d’un possible syndrome d’Asperger de leur patiente/patient.

L’appel indicible à rencontrer une angoisse métaphysique pour cette personnalité particulière invite une oreille attentive, celle du cœur : « L’essentiel est invisible pour les yeux ».

Nadjejda Tretiakoff.

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