Sucre ou cannabis ?

Vous reprendrez bien un peu de sucre ou de cannabis ?

Voici la petite histoire cachée de nos premières addictions…

Au tout début était l’ovule fécondé par le spermatozoïde…l’œuf ainsi créé, après 6 jours d’un voyage dans l’espace intersidéral de la trompe, amorce son atterrissage dans la paroi de l’utérus…

Au 7e jour…un accord inclusif teinté d’amour permet à l’œuf de s’implanter et de commencer son aventure humaine… (ou pas et ça s’appellera une fausse couche).

Les échanges qui ont influencé l’accord sont endogènes et émanent de deux sources différentes :

~la 1ére est un neurotransmetteur cannabinoïde, version humaine du THC.  La molécule du plaisir (ananda qui vient du Sanscrit plaisir) l’anandamide est un endocannabinoïde produit par le cerveau de la mère impliqué dans la motivation, la douleur, la mémoire, l’appétit, l’humeur. Cette molécule contient la mémoire de l’accord entre la mère et l’enfant dont la résonance en mots serait, de la part de l’enfant « J’ai demandé à venir » « Je désire rentrer dans la réalité » « Je décide » … bref un « OUI je désire devenir Humain ».

~ la seconde se trouve dans la paroi même de l’utérus et c’est du glycogène, du sucre. La résonance, cette fois, serait de la part de la mère « Viens je t’accueille » « Je te protège de tout danger ». La première mémoire de l’amour se joue ici.

Dans un raccourci chimique, au 7e jour nous tombons dans un nid de cannabis sucré ! À peine l’accord conclu, ces petits arrangements seront oubliés.

Dans les expériences de vie à venir, pour retrouver ce qui nous avait donné envie d’être ici, nous nous perdrons avec des ersatz exogènes, des leurres addictifs nous laissant dans un manque abyssal d’amour.

Dans mon expérience professionnelle, je retrouve à la période de l’adolescence, cette compulsion de cannabis plutôt chez les garçons, et chez les filles, plutôt celle du sucre. Malheureusement, cette compulsion se poursuit à l’âge adulte…

Rien d’extérieur ne nous apportera sécurité et amour dans la plénitude. Oser être soi dépend de notre capacité à nous passer du sucre et l’autonomie s’acquiert par le passage de l’illusion d’un faux idéal de soi ( le cannabis) à la valorisation d’un Soi Idéal.

Ni le cannabis ni les petits gâteaux ne combleront ce désir profond d’être créateur de notre vie.

L’Approche Quantique du REL réactualise le voyage des 6 jours et l’implantation dans l’Humain en Conscience des pouvoirs illimités de création de notre vie depuis le 7e jour !

Nadjejda Tretiakoff.

Cet article vous a plu ? Partagez le :)

“Comment saurais-tu ce qui est sur le sommet du ciel, lorsque tu ne sais pas même qui se trouve dans ta maison.”

Je remercie Saadi, immense poète persan du 13e siècle, pour ses vers sublimes. Écrits dans le LIVRE PREMIER ” Sur les avantages du silence “, ils accompagnent mon travail dans la relation patient-thérapeute.

L’Approche Quantique du Rêve d’ÉveiL se relie au cœur car le cœur est intelligent, relié à la Vie et en demande de changement à chaque pulsation.

Pour Georges Romey « L’intelligence du cœur traduit la perception subtile qui relie l’homme à son semblable, à son environnement proche, à l’univers et à la nature divine ».

Et pour Luc Bigé « Le cœur sait s’engager personnellement et totalement dans le Tout pour s’ouvrir à plus grand que soi et entrer dans le partage ».

L’Approche Quantique du Rêve d’ÉveiL nous invite à devenir créateur de notre Vie en utilisant le rêve : « La mise en mouvement de la Vie dans la personne afin de renouveler le dynamisme de l’être en le reconnectant à l’univers intime qui le fonde ».

Tout devient possible, c’est comme ça !

Nadjejda Tretiakoff.

Cet article vous a plu ? Partagez le :)

Calimero ou Néo ? La pilule bleue ou la pilule rouge ?

Est-ce que vous vous souvenez de ce petit personnage avec sa coquille sur sa tête ?

Il ressemblait, à si méprendre, à chaque enfant pour qui « C’est trop injuste… ». L’une des blessures que partagent nombre d’enfants c’est bien l’injustice. L’impuissance de n’être que trop rarement accueilli pour ce qu’il est, poursuit l’enfant au moment de la constitution de sa personnalité. Être critiqué, dévalorisé, regardé avec froideur pousse l’enfant à refuser de sentir, de ressentir sa sensibilité. C’est aussi l’enfant « zéro défaut » qui se doit de renvoyer à ses parents une image idéale d’eux-mêmes. Les exigences, verbalisées ou non, des parents génèrent une sensibilité infernale. Plus tard, tout ce qui n’est pas juste, au sens de justesse comme de justice, le rendra profondément malheureux et inscrira dans son corps une attitude qualifiée de rigide. Sa vie intérieure sera vécue comme un trésor inavouable à défendre jusqu’à la solitude, souvent. Accepter, demander de l’aide sont des risques que le cœur blessé par l’injustice se refuse à prendre.

Au petit Calimero qui est à l’intérieur des grands blessés, j’ose proposer de ne plus s’exclure eux-mêmes, de faire l’expérience d’accueillir leurs émotions : il y a toujours une main pour eux, elle est au bout de leur bras. Il me semble que tout adulte se reconnaît aux deux droits essentiels qu’il s’octroie : le droit de se tromper et le droit de changer d’avis.

Hauts les cœurs, petits Calimero, vous avez de l’amour à recevoir et à donner !

Néo est ce personnage dans la saga Matrix qui serait l’Élu désigné par l’Oracle.

Pour devenir l’Élu, un parcours initiatique se dessine, chemin psychologique autant que spirituel. Chemin à tracer pour que d’autres avec lui, libèrent le monde de l’emprise d’une Matrice liberticide et déshumanisée. Néo doute de sa mission même lorsque l’Oracle tente de l’éclairer. Le dernier opus diffusé (juste avant le prochain sur nos écrans en décembre de cette année…) laisse Néo aveugle tel Œdipe afin que son parcours intérieur le révèle à lui-même.

Une métaphore de notre monde intérieur divisé entre notre partie prédatrice et notre partie proie peut se ressentir dans Matrix. Le transhumanisme peut se regarder comme la terreur que nous nous imposons à nous-mêmes. L’exigence d’être « plus que soi » nous coupe de notre élan vital, de la Créativité de notre Vie, de notre âme. Se comparer sans cesse à l’Autre pour évaluer notre existence est dangereux pour chacun d’entre nous, singulièrement et collectivement.

La Vie est pure magie pour celui qui la reçoit dans son cœur ! Le Monde d’après se construit sur les solides fondations d’une Conscience vigilante et active. Les neurosciences le démontrent ; le cœur a besoin du cerveau et du ventre pour créer de nouvelles connexions.

Allez-vous choisir la pilule bleue ou pilule la rouge ? La Matrice ou la Liberté ?

Devenir l’Élu de notre cœur représente un potentiel de guérison de l’âme et la libération de la Vie !

Nadjejda Tretiakoff

Cet article vous a plu ? Partagez le :)

Un petit (présent) chez Soi vaut mieux qu’un grand (absent) chez les Autres.

Souvent, la psychologie fait appel avant tout, au bon sens…en faisant confiance à cette partie de nous en connexion permanente avec le champ informationnel à l’origine des langues et des langages…

Bien avant la Tour de Babel, les langues et les langages nous attendaient pour faire chanter nos propos, nos conversations et nous offrir la possibilité de nous entendre…Mais ce n’est pas mon inspiration du moment !

Si je m’amuse avec le mot « présent » il se compose de « pré » ; devant dans le temps et dans l’espace, en avant, une antériorité…et aussi « sent » de « sentir » ; percevoir avec les sens, l’odorat, le son, le toucher, par la sensibilité, avoir conscience de son propre état, être affecté favorablement, avoir connaissance…Alors j’imagine que le « présent » est un cadeau que je me fais pour me sentir agir dans une réalité qui se produit au moment où j’en parle. Je m’ouvre dans le présent à une partie de moi, maîtresse d’elle-même, à mon esprit propice à me rendre une situation favorable. Je suis attentive et disponible à moi-même in praesentia (j’adore le latin !).

Même si c’est en « petit » cette aventure-là me donne envie d’être vécue en Conscience ! Entrer en relation avec les profondeurs de Soi, libérer l’amour en Soi ! Retrouver l’enfant intérieur !

Lorsque je m’amuse avec le mot « absent » il se compose de « ab » ; le père en hébreu (…) ou signifie séparation, détachement, abstinence, être loin de, éloigné, distrait, inattentif voire même disparu, à défaut d’esprit, in absentia. C’est à ce moment là que la peur d’être rejeté par les autres nous entraîne, lentement mais sûrement, vers l’enfermement.

Il me semble qu’un petit cadeau de conscience d’être Soi dans sa Vie vaut mieux qu’un grand disparu espéré, peut-être un père (car le père suffisamment bon est le garant de l’équilibre psychologique de l’enfant), un espoir vain, une petite mort assurée.

Remettre entre les mains des Autres son potentiel de Vie n’apportera pas la Paix (1ère lettre de Présent) car alors notre propre incarnation (sentir) nous échappera.

Gare aux faux espoirs face à ceux qui ne nous voient pas et pour lesquels nous resterons d’éternels Absents dans leur cœur…Ah, Ah, Ah les jours douloureux ! ! !

Nadjejda Tretiakoff

Cet article vous a plu ? Partagez le :)

La transmission : l’art du Psy

Depuis plusieurs mois, un mot circule…le mot « transmission ».

Avec curiosité, je l’ai suivi !

Je suis allée le chercher dans ses origines…Transmettre : du latin transmittere envoyer de l’autre côté, faire passer au-delà puis c’est devenu céder un droit, un bien, à quelqu’un, faire passer un bien matériel. Mais aussi un terme de médecine en parlant de la circulation des humeurs. Et récemment, transmission par contagion d’une maladie, d’un agent pathogène d’un individu à un autre.

Étonnamment, en mécanique, la courroie de transmission transmet une consigne, un ordre. Au regard des neurosciences, les neurotransmetteurs sont des composés chimiques libérés par les neurones et agissant sur d’autres neurones.

« Trans » dans la langue française exprime au-delà, par-delà, à travers et marque le passage, le changement.

La mission, quant à elle, était une libération puis une tâche confiée à une personne avec ou sans idée de déplacement mais aussi une mission religieuse comme l’évangélisation.

Où vais-je avec toutes ces informations ?

Dans ce merveilleux film de Tatsushi Omori « Dans un jardin qu’on dirait éternel », la transmission de La Cérémonie du Thé est une transmission de l’Art de la Vie.

Transmettre, pour le psy, est un art bien difficile qui suppose l’effacement de soi-même, un don…pourtant, parfois, celui qui transmet l’oublie et préfère choisir un auditoire tout acquis. À ce moment, selon un principe bien connu en psychologie ; la projection, notre disponibilité naturelle à l’autre n’est plus une quête de partage mais seulement un moyen de nous venger de l’adversité et d’obtenir ce qui nous a manqué.

Donner est une expression forte et inconsciente du conflit entre la pulsion de vie et la pulsion de mort. C’est aussi l’illustration d’un mécanisme de défense contre des ennemis invisibles, familiers et opportunistes logés à grand renfort d’énergie, à l’intérieur de notre monde intérieur secret parfois même, obscur. Et tout cela en faisant l’économie de la remise en cause personnelle, seul accès authentique à ce besoin primal à l’intérieur de nous : le besoin essentiel d’être.

Car avoir quelque chose à transmettre est la preuve qu’ « être » a existé  et non se perdre dans une représentation idéalement choisie empruntant la frêle passerelle entre le passé et l’avenir qui permettrait d’échapper à ses angoisses.

Celui qui transmet est parfois un Narcisse des temps modernes : il est amoureux d’un Autre qui n’est que le reflet de sa propre image, une forme d’auto érotisme de l’Idéal de soi. Eros est rarement absent de nos pensées et de nos intentions.

Le don implique une identité partielle avec le choix sur lequel il porte. L’inconscient est projeté dans ce choix, soumis à des forces et à des influences imperceptibles et pourtant bien réelles. Quelle partie de nous fait ces choix ? La partie infantile primitive à la recherche du temps perdu passé auprès du sein de la mère ? La partie qui voudrait s’autonomiser de cette période de fusion et proclamer au monde entier son indépendance ? L’individuation enfin gagnée ?

Dans nos choix de don, quels qu’ils soient, la profondeur de l’inconscient n’a pas de limite. Elle nous offre la possibilité de reconnaître la part de nous qui est projetée dans ce choix afin de pouvoir l’intégrer avant d’espérer pouvoir se servir de ceux à qui l’on donne comme révélateurs de notre générosité.

Car c’est là que se situe la magie du don : il est symbolique. Ainsi, il exprime une partie visible mais surtout il s’adresse à l’infini, à l’invisible.

Je pense à cette maxime de Nietzsche, ” Quand tu regardes l’abîme, l’abîme regarde en toi ” et il me semble que ” Quand tu regardes ta façon de transmettre, ta façon de transmettre regarde en toi “.

Ce qui se partage est immatériel avant tout. Ce que nous transmettons dans nos lieux privilégiés d’accueil de l’Autre, c’est la Conscience d’être soi-même. Nous sommes des passeurs de Vie. Nous n’attendons pas de reconnaissance pour ce qui se passe dans l’invisible. Nous donnons de tout notre cœur et la suite ne nous appartient pas !

Nadjejda Tretiakoff

Cet article vous a plu ? Partagez le :)

Plus loin que le rêve…la réalité !

J’entends sourdre des projets sociaux fondés sur une utopie : le contrôle des technologies viendrait satisfaire tous nos désirs. Fi des expériences de vie qui nous font rencontrer nos besoins essentiels et, à l’intérieur de nous, les ressources pour les satisfaire !

Noël tous les jours ! Toujours plus de technologie pour enchanter le quotidien…chacun dans son coin ! Avons-nous oublié que Noël est une fête pour les enfants ?

Est-ce que nos journées vont célébrer un optimisme fou au service d’une Loi de l’attraction où tout doit changer sans implication véritable : un « je veux-j’ai » bloqué dans le principe de plaisir du petit enfant ? Peu importe si le monde d’avant s’effondre car dans le monde d’après ce sera comme je veux .

Devenir le maître du monde ne soigne pas les blessures psychologiques.

Nous ne voulons plus avoir faim, froid, sommeil, souffrir…comme les robots…

Mais les technologies que l’on nous promet sont conçues par des humains à partir d’eux-mêmes.

Dans cette série « Westworld » le concepteur (Anthony Hopkins) a créé, pour pallier ses manques, des personnages et leur exprime : « Tu es dans mon rêve…aucun choix n’est possible ».

À ceux qui ont envie de vivre leur propre vie, l’Approche Quantique du Rêve Éveillé Libre propose de regarder le rêve ainsi :

Rêve : R ève, la mise en mouvement (R) de la vie dans la personne, puisque EVE se lit, par la matrice, se fit homme. Ici le rêve a pour fonction de renouveler le dynamisme de l’être en le reconnectant à l’univers intime qui le fonde. (Luc BIGÉ)

Et ce, afin de créer une réalité humaine :

Réalité : Ré alité, un dieu (Ré) couché (alité) ou encore une note (ré) allongée (alitée). Ainsi notre réalité serait le corps endormi d’une divinité. Cela, le mythe babylonien de la création nous l’expliquait déjà en décrivant notre univers physique comme le corps d’un dieu mis à mort par ses pairs. De son côté, l’indouisme décrit l’univers comme étant créé par le son OM primordial. Si jamais celui-ci venait à s’interrompre, le monde disparaîtrait totalement. Par une extraordinaire magie du langage un seul mot, la « réalité », condense en seulement sept lettres les secrets de ces deux grandes cosmogonies. Un jour, peut-être, nous verrons ce principe debout, dans toute sa lumière (Ré, solaire) et son harmonie (ré) pour manifester une Ré a lité, un principe (Ré) sans (a) lit, une pure note de lumière. (Luc BIGÉ)

Nadjejda Tretiakoff

Cet article vous a plu ? Partagez le :)

La couleur de l’âme serait-elle le bleu ?

L’Intelligence Artificielle nous promet des jours heureux où nous n’aurons plus de soucis qui ne soient réglés « sans notre intervention ». Un « go fast » permanent où tout se décide à l’insu de notre plein gré mais avec notre pleine coopération…s’impose à coup d’applications toujours plus intrusives.

Dans Intelligence Artificielle, il y a « artifice » : l’art de tromper, moyen habile et plus ou moins trompeur, une ingéniosité opposée au naturel…L’IA voudrait faire de nous des machines augmentées assujetties à des référents extérieurs connectés à notre bonne santé, nos aptitudes physiques et psychiques, nos élans amoureux, nos désirs d’enfants, nos rêves…pour notre bien !

Pour nous adapter construisons-nous des avatars, en sanskrit « incarnation d’un dieu sur Terre ». Oublions que nous sommes tous handicapés de quelque chose…principalement des handicapés de l’amour…pour nous illusionner dans une perfection inhumaine !

Que vont devenir l’intuition, l’instinct, l’âme dans cet avenir transhumaniste ? Avons-nous, à ce point, perdu l’essentiel de nous-mêmes ? Et tout ceci aboutirait à renier notre capacité en notre pouvoir de transformation personnelle…

Ce pouvoir est là, disponible et n’attend que nous…il ne se vivra pas sans nous ! Ce pouvoir c’est l’Intelligence de Vie !

Plutôt qu’une réalité augmentée, l’Intelligence de Vie propose une Conscience amplifiée de nos ressources intérieures.

L’Approche Quantique du Rêve Éveillé Libre est un espace de rencontre avec soi-même, en relation avec l’Autre, avec un environnement naturel. Les symboles nous emmènent à la découverte de l’Être singulier que chacun d’entre nous est. Cet espace est sans limite à l’intérieur de nous et nous invite à nous émerveiller de nos potentiels. Des champs quantiques informationnels nous relient à notre unité. Tout est possible dans une cohérence humaine !

Est-ce pour cette raison que le peuple des Na’vi sur la planète Pandora, a la peau bleue ?

Les Na‘vi ont conservé cet accord avec eux-mêmes si précieux…leur âme !

Nadjejda Tretiakoff.

Cet article vous a plu ? Partagez le :)

La Conscience du futur

Si un poussin peut influencer la trajectoire d’un petit robot programmé pour effectuer des parcours aléatoires, que pourrait réaliser un être humain décidé à expérimenter les possibilités de sa Conscience ?

Créer un avenir avec un libre arbitre de Cohérence ? d’ Harmonie ? de Vivance ? de Reliance ? de Merveilleux ?

Le futur peut être modifié sous l’influence de notre Conscience individuelle et/ou collective.

Et si cet être humain devenait un collectif de Conscience…

Voici l’apport de la science quantique : nous pouvons passer du possible au réalisable à partir de notre Conscience et de la responsabilité de nos pensées. Les pensées qui viennent du cœur sont magnifiquement branchées sur un futur qui n’attend que nous…peu importe le chemin.

L’Approche Quantique du Rêve Éveillé Libre nous relie à nos potentiels insoupçonnés qui existent déjà.

Nadjejda Tretiakoff

Cet article vous a plu ? Partagez le :)

Notre réalité est émotionnelle !

Que voyez-vous dans cette petite histoire ?

La cruauté de la vie ? La beauté de la vie ? L’abandon ? L’entraide ? La solitude ? Le partage ? L’avidité ? Un chemin initiatique ?

Ce que nous pensons réel n’est que la projection de nos émotions…nos émotions changent…au gré de nos expériences de vie…et de la perception de ce qui nous touche à un moment donné.

Tout évolue, en nous comme à l’extérieur de nous, avec des rencontres, des informations nouvelles…

Ce que nous croyons réel et pour lequel nous serions prêts à en découdre est avant tout une perception émotionnelle. Une émotion particulière nous habite depuis notre plus tendre petite enfance et nous pousse à être revécue sans cesse dans chaque relation, chaque situation.

Nous abordons nos vies d’adulte avec nos émotionnels d’enfant…jusqu’au chaos.

Lorsque nous serons réellement adultes, nos choix de vie correspondront à nos aptitudes de création…d’adultes.

Nadjejda Tretiakoff

Cet article vous a plu ? Partagez le :)

Murmure

Le murmure ne reconnaît pas le haut mur,

Il gémit parfois, rit aussi, il susurre,

Sans intention, il se moque de ce qui perdure,

Il voyage, transperce le son, dans son élan, dure.

Dans les bras du vent, les Esprits de la nature,

Sans impatience mais vifs, m’apportent le son pur,

Mon âme s’élève en pleine lumière, je le jure,

Je suis dispersée, atomes, dans le futur.

A la rencontre du Grand Esprit, j’abandonne

Les questions, les quêtes, les craintes, je me donne

De toute ma puissance de femme, de louve,

J’accueille la déflagration, je me retrouve.

Le murmure triomphant rejette les épures,

Il ne se laissera pas définir, c’est sûr.

Le silence est son berceau, le vide son armure,

Dans un ciel azur, il choisit l’aventure.

                                          Nadjejda Tretiakoff

Cet article vous a plu ? Partagez le :)