Le Vide versus le “trop” Plein versus le Danger

Entrer dans le vide c’est se rencontrer, aller à la découverte de son monde intérieur. Et pourtant la Nature aurait peur du vide…la Nature ou bien notre interprétation du Vivant ?

« Si vous voulez trouver les secrets de l’Univers, pensez en termes d’énergie, de fréquence, d’information et de vibration ». (Nikola Tesla)

Nous voici bien loin de l’interprétation commune du Vide ! Les atomes sont constitués de vide à plus de 99,9%…vertigineux…

Alors aurions-nous peur du Vide ou de 0,1% de matière à laquelle nous donnons le pouvoir d’être la réalité absolue ?

Dans le Vide, il y a l’Intelligence du Vivant. Cette intelligence a laissé émerger, il y a 13,8 milliards d’années, ce fameux Bing Bang. Le Tout émane du Vide ! Et dans ce Vide, il y a tant que nous ne voyons pas…

C’est peut-être la raison pour laquelle nous basculons avec avidité dans le « trop » Plein. Par peur de l’idée que nous nous faisons du Vide…

Pour notre malheur, ce sont nos addictions qui remplissent nos vies : « a » pour supprimer, « diction » ce que nous avons à exprimer d’essentiel, c’est-à-dire notre Être profond. Quelles soient substances, comportements, croyances, idées…ces addictions nous gavent le foie…la foi en nous : le Feu énergie, le O totalité et autonomie originelles, le I qui met en relation l’esprit et la matière. Nous partons à l’abattoir, la manipulation de masse jusqu’à l’oubli de la Vie.

Étonnamment, il n’y a pas de danger à laisser l’ANge que G, j’ai, en deDANs vivre dans la joie. L’Ange en nous est représentatif de notre énergie de Création appelée à être mutualisée, partagée à l’infini, inconditionnellement…

Le « trop » Plein étouffe l’appel au changement, aux nouveaux choix en Conscience.

« L’intégralité du cosmos regorge de Conscience. Nous sommes entourés, immergés dans la Conscience. Elle est dans l’air que nous respirons, le sol que nous foulons, les bactéries qui colonisent nos intestins, et le cerveau qui nous permet de penser ». (Christof Koch)

Vive le Vide d’où émerge la Conscience !

Nadjejda Tretiakoff

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Haine versus Amour: à qui la faute?

La haine c’est de l’amour contrarié !

La haine semble éternelle, comme les regrets, car elle alimente le JT de 20h tous les soirs ! La haine est gravée dans le passé !

La haine invite à la confrontation du Ciel et des Enfers avec une hache (H) à double tranchant. D’un côté, la croyance de la séparation tenue fermement par l’EGO. De l’autre, l’illusion d’une matérialité qui viendrait nous remplir. Malheureusement, la haine n’est jamais rassasiée. Elle cannibalise le corps et étouffe l’âme.

La blessure ne se laisse pas guérir car elle symbolise le doute insupportable de mériter l’amour. Trop d’efforts vains dans l’enfance pour recevoir cet amour et surtout la culpabilité de ne pas avoir fait suffisamment pour l’accueillir gratuitement.

C’est cette culpabilité de ne pas être celui qu’on attendait, le « bien-né », qui s’est transformée en haine de soi projetée sur l’Autre. Le stratagème se verrouille et les conséquences deviennent incontrôlables. H ( la hache) AI (que j’ai) NE (parce que je ne suis pas « bien né »).

La blessure de haine nécessite du soin, de l’attention sans tension (a-tension), pas de but à atteindre, simplement laisser la cicatrisation qui est un phénomène spontané, faire son ouvrage. La cicatrisation ouvre la voie du futur à créer.

Dans la cosmogonie de la Grèce antique, La Nuit et le Vide sont à l’origine du monde. La Nuit enfante un œuf d’où sort l’Amour, tandis que la Terre et le Ciel se forment des moitiés de coquille brisée.

L’Amour est un enfant qui demande du soin, de la bienveillance, du don. L’Amour c’est la lumière de l’âme partagée avec l’autre sans attente. C’est ainsi que la Conscience nous révèle que nous ne sommes pas séparés de la Source. Cette Conscience appelle l’Unité, en soi, avec l’enfant intérieur.

Lorsque la haine s’est transformée, nous sommes enfin libres d’aimer et d’être aimés !

Nous sommes enfin libérés de trouver à qui la faute !

Nadjejda Tretiakoff

En vidéo, une scène d’anthologie du film « Will Hunting » C’EST PAS TA FAUTE !

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Vivre versus la culpabilité et la honte

L’ego dispose de deux bras armés redoutables : la culpabilité et la honte.

Il s’agit de l’ego qui s’est construit lorsque nous étions enfant afin d’apprendre à déguiser nos besoins réels. Tristement, cet ego qui a permis à l’enfant de survivre en mettant à distance sa souffrance, perdure à l’âge adulte, tel quel, en attendant une mise à jour.

À chaque étape de notre vie, se propose une actualisation de nos besoins symboliques et l’espoir aléatoire de leur satisfaction : « Je souffre donc je suis ; à qui la faute ? », vers la reconnaissance de nos besoins réels et l’accueil de ce que nous sommes ; une personnalité en évolution constante : « En Conscience, je me laisse être qui je suis ; je choisis ma vie ».

L’adulte réalise des prouesses émotionnelles en utilisant la culpabilité et la honte comme alibis à la colère qui gronde au fond de lui. Mais la Vie est aussi très créative pour sourdre des lieux les plus reculés de la souffrance.

La colère est une défense pour ne pas ressentir le manque d’amour. Le manque d’amour et ses conséquences multiples génère une colère sans limite. Pour sortir de ce cercle infernal, il faut y entrer !

Entrer dans sa colère libère la tension.

Projeter sa colère c’est encore chercher à qui la faute !

Entrer dans sa colère c’est prendre le risque de transformer une identité de circonstances tournée vers l’extérieur en un discernement tourné vers l’intérieur : cesser la lutte entre le réel et l’irréel.

La vraie colère demande un travail de transformation et du temps. Un apaisement se profile.

La fausse colère exige l’immobilisme et que le monde change avant de se fatiguer pour rien ! Il n’y a pas d’issue possible.

Avec la culpabilité et la honte, l’ego fait passer pour réel ce qui ne l’est pas : l’amour se mérite.

L’amour…à tout moment, il est possible d’apprendre à se le donner et pour cela, nous avons toute la Vie.

La Vie requiert Conscience et transformation car la Vie est mouvement !

Nadjejda Tretiakoff.

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La Conscience de l’Humanité

VOTRE RÊVE VA RÉVEILLER VOTRE VIE !

Les différentes approches du rêve sont complémentaires : les neurosciences, la biologie cellulaire, la psychologie, la science quantique, le chamanisme cybernétique, les traditions…

Ces différentes approches sont constitutives de l’Intelligence de Vie, de l’Univers tout entier…

L’Intelligence de Vie a un rêve pour chacun d’entre nous.

Sans le rêve, il n’y a pas de Conscience.

Sans Conscience, il n’y a pas d’évolution.

Sans le rêve, il n’y a pas d’évolution !

Chacun d’entre nous EST un rêve à réaliser.

Chaque rêve participe à l’évolution de l’ensemble d’entre nous.

Nadjejda Tretiakoff

WEBCONFÉRENCE LE MARDI 24 JANVIER 2023 à 12h30

inscription gratuite Linked’In JOURNÉE MONDIALE DU RÊVE

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La peur a son antidote : le rêve

” C’est la dose qui fait le poison ” *

Dans mon propos, la peur étant le poison, le rêve se propose comme un antidote…

Il y a très, très, longtemps…la peur a servi à la lignée humaine de l’homme de Néandertal, à ne pas rester chacun dans son coin. Cette émotion nous a rassemblés en clan, en tribu afin de partager nos défenses, nos compétences…et nos gènes ! Il s’agissait d’une peur instinctive adaptée à la réalité de l’environnement, un ajustement entre les besoins essentiels et la conservation d’une intégrité physique et psychique. La Loi de la Conservation et la Loi de la Manifestation opéraient en symbiose.

Le rêve, les parois des grottes préhistoriques en sont témoins, habitait chacun et se partageait à la lueur d’un feu entre tribus, entre individus fixant les étoiles et autres astres célestes…

La ” civilisation ” a transformé la peur en angoisses multiples, en anticipations infernales dans une quête de performance perpétuelle. Au final, la peur de la mort inscrite en chacun de nous s’est trouvé des variations plus terrifiantes encore. L’illusion d’une échappatoire a étouffé, de façon certaine, nos vies : comment ne pas mourir ?

Étonnement, chercher à ne pas mourir fige dans le temps, peut-être, mais plus sûrement empêche l’évolution de la psyché vers ce qui nous transcende : la Conscience.

Le processus de réalisation de l’Être amène à accueillir l’imprévisible comme un passage vers l’éternité.

Cette éternité nous la vivons tous, tout le temps et toujours…elle se dépose dans nos rêves !

Rêve d’éveil, rêve nocturne, rêve à réaliser nous libèrent de la peur du mental car ces créations émanent de nos âmes ! Le rêve nous relie à l’Histoire de l’Univers. La science quantique nous le démontre : dans le rêve, nous échappons au monde de la séparation, au monde de la matérialité. Dans le rêve, les symboles, les formes sont de l’information exprimée en logique du Vivant qui nous transforme. Dans le rêve, nous devenons coupelle en refuge de l’Univers…unis…vers !

Les rêves partagés nous rassemblent dans un continuum d’éternité. Les échanges de compétences menant à la réalisation d’un rêve nous rappellent que depuis l’infiniment petit, le quantum, nous sommes poussés à révéler la Loi de la Conservation ↔ Créer et la Loi de la Manifestation ↔ Partager, afin d’accéder à l’Éternité.

Le rêve nous métamorphose : Un pour Tous “est” Tous pour Un !

Le rêve rend réelle la Création. Il s’invite en convertisseur de potentiels pour une humanité en devenir.

À l’instant, je songe à cette proxémie observée chez les animaux partageant un espace inhospitalier pour certains, un point d’eau pour s’abreuver, besoin essentiel à chacun, ensemble…

Nadjejda Tretiakoff

* Paracelse

Attendre de ne plus avoir de peurs pour rencontrer les parties de soi n’arrive jamais, et jamais c’est très long surtout vers la fin !

Pour se retrouver, il faut du courage, et le courage c’est d’y aller avec ses peurs !

À suivre ” Alice de l’autre côté du Miroir” de Tim Burton ou comment mettre fin au règne de la terrible Reine Rouge, somme de toutes les peurs…

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La transmission : l’art du Psy

Depuis plusieurs mois, un mot circule…le mot « transmission ».

Avec curiosité, je l’ai suivi !

Je suis allée le chercher dans ses origines…Transmettre : du latin transmittere envoyer de l’autre côté, faire passer au-delà puis c’est devenu céder un droit, un bien, à quelqu’un, faire passer un bien matériel. Mais aussi un terme de médecine en parlant de la circulation des humeurs. Et récemment, transmission par contagion d’une maladie, d’un agent pathogène d’un individu à un autre.

Étonnamment, en mécanique, la courroie de transmission transmet une consigne, un ordre. Au regard des neurosciences, les neurotransmetteurs sont des composés chimiques libérés par les neurones et agissant sur d’autres neurones.

« Trans » dans la langue française exprime au-delà, par-delà, à travers et marque le passage, le changement.

La mission, quant à elle, était une libération puis une tâche confiée à une personne avec ou sans idée de déplacement mais aussi une mission religieuse comme l’évangélisation.

Où vais-je avec toutes ces informations ?

Dans ce merveilleux film de Tatsushi Omori « Dans un jardin qu’on dirait éternel », la transmission de La Cérémonie du Thé est une transmission de l’Art de la Vie.

Transmettre, pour le psy, est un art bien difficile qui suppose l’effacement de soi-même, un don…pourtant, parfois, celui qui transmet l’oublie et préfère choisir un auditoire tout acquis. À ce moment, selon un principe bien connu en psychologie ; la projection, notre disponibilité naturelle à l’autre n’est plus une quête de partage mais seulement un moyen de nous venger de l’adversité et d’obtenir ce qui nous a manqué.

Donner est une expression forte et inconsciente du conflit entre la pulsion de vie et la pulsion de mort. C’est aussi l’illustration d’un mécanisme de défense contre des ennemis invisibles, familiers et opportunistes logés à grand renfort d’énergie, à l’intérieur de notre monde intérieur secret parfois même, obscur. Et tout cela en faisant l’économie de la remise en cause personnelle, seul accès authentique à ce besoin primal à l’intérieur de nous : le besoin essentiel d’être.

Car avoir quelque chose à transmettre est la preuve qu’ « être » a existé  et non se perdre dans une représentation idéalement choisie empruntant la frêle passerelle entre le passé et l’avenir qui permettrait d’échapper à ses angoisses.

Celui qui transmet est parfois un Narcisse des temps modernes : il est amoureux d’un Autre qui n’est que le reflet de sa propre image, une forme d’auto érotisme de l’Idéal de soi. Eros est rarement absent de nos pensées et de nos intentions.

Le don implique une identité partielle avec le choix sur lequel il porte. L’inconscient est projeté dans ce choix, soumis à des forces et à des influences imperceptibles et pourtant bien réelles. Quelle partie de nous fait ces choix ? La partie infantile primitive à la recherche du temps perdu passé auprès du sein de la mère ? La partie qui voudrait s’autonomiser de cette période de fusion et proclamer au monde entier son indépendance ? L’individuation enfin gagnée ?

Dans nos choix de don, quels qu’ils soient, la profondeur de l’inconscient n’a pas de limite. Elle nous offre la possibilité de reconnaître la part de nous qui est projetée dans ce choix afin de pouvoir l’intégrer avant d’espérer pouvoir se servir de ceux à qui l’on donne comme révélateurs de notre générosité.

Car c’est là que se situe la magie du don : il est symbolique. Ainsi, il exprime une partie visible mais surtout il s’adresse à l’infini, à l’invisible.

Je pense à cette maxime de Nietzsche, ” Quand tu regardes l’abîme, l’abîme regarde en toi ” et il me semble que ” Quand tu regardes ta façon de transmettre, ta façon de transmettre regarde en toi “.

Ce qui se partage est immatériel avant tout. Ce que nous transmettons dans nos lieux privilégiés d’accueil de l’Autre, c’est la Conscience d’être soi-même. Nous sommes des passeurs de Vie. Nous n’attendons pas de reconnaissance pour ce qui se passe dans l’invisible. Nous donnons de tout notre cœur et la suite ne nous appartient pas !

Nadjejda Tretiakoff

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La couleur de l’âme serait-elle le bleu ?

L’Intelligence Artificielle nous promet des jours heureux où nous n’aurons plus de soucis qui ne soient réglés « sans notre intervention ». Un « go fast » permanent où tout se décide à l’insu de notre plein gré mais avec notre pleine coopération…s’impose à coup d’applications toujours plus intrusives.

Dans Intelligence Artificielle, il y a « artifice » : l’art de tromper, moyen habile et plus ou moins trompeur, une ingéniosité opposée au naturel…L’IA voudrait faire de nous des machines augmentées assujetties à des référents extérieurs connectés à notre bonne santé, nos aptitudes physiques et psychiques, nos élans amoureux, nos désirs d’enfants, nos rêves…pour notre bien !

Pour nous adapter construisons-nous des avatars, en sanskrit « incarnation d’un dieu sur Terre ». Oublions que nous sommes tous handicapés de quelque chose…principalement des handicapés de l’amour…pour nous illusionner dans une perfection inhumaine !

Que vont devenir l’intuition, l’instinct, l’âme dans cet avenir transhumaniste ? Avons-nous, à ce point, perdu l’essentiel de nous-mêmes ? Et tout ceci aboutirait à renier notre capacité en notre pouvoir de transformation personnelle…

Ce pouvoir est là, disponible et n’attend que nous…il ne se vivra pas sans nous ! Ce pouvoir c’est l’Intelligence de Vie !

Plutôt qu’une réalité augmentée, l’Intelligence de Vie propose une Conscience amplifiée de nos ressources intérieures.

L’Approche Quantique du Rêve Éveillé Libre est un espace de rencontre avec soi-même, en relation avec l’Autre, avec un environnement naturel. Les symboles nous emmènent à la découverte de l’Être singulier que chacun d’entre nous est. Cet espace est sans limite à l’intérieur de nous et nous invite à nous émerveiller de nos potentiels. Des champs quantiques informationnels nous relient à notre unité. Tout est possible dans une cohérence humaine !

Est-ce pour cette raison que le peuple des Na’vi sur la planète Pandora, a la peau bleue ?

Les Na‘vi ont conservé cet accord avec eux-mêmes si précieux…leur âme !

Nadjejda Tretiakoff.

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La Conscience du futur

Si un poussin peut influencer la trajectoire d’un petit robot programmé pour effectuer des parcours aléatoires, que pourrait réaliser un être humain décidé à expérimenter les possibilités de sa Conscience ?

Créer un avenir avec un libre arbitre de Cohérence ? d’ Harmonie ? de Vivance ? de Reliance ? de Merveilleux ?

Le futur peut être modifié sous l’influence de notre Conscience individuelle et/ou collective.

Et si cet être humain devenait un collectif de Conscience…

Voici l’apport de la science quantique : nous pouvons passer du possible au réalisable à partir de notre Conscience et de la responsabilité de nos pensées. Les pensées qui viennent du cœur sont magnifiquement branchées sur un futur qui n’attend que nous…peu importe le chemin.

L’Approche Quantique du Rêve Éveillé Libre nous relie à nos potentiels insoupçonnés qui existent déjà.

Nadjejda Tretiakoff

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