En cas de dépression…

Vous connaissez, peut-être, ces recommandations lorsque vous prenez l’avion : « En cas de dépressurisation (dépression) de la cabine, un masque à oxygène tombera automatiquement à votre portée. Tirez sur le masque pour libérer l’oxygène. Placez-le sur votre visage. Une fois votre masque ajusté, (et seulement à ce moment-là), il vous vous est possible d’aider d’autres personnes… »

Dépression : D’E pression, une personnalité (E) qui cherche à sortir d’elle-même (D) mais en est empêchée par la pression de circonstances extérieures. La dépression signe un blocage dans l’expression de soi et de la nouveauté que l’on porte en gestation au fond de son cœur. Également, « dépressif », D’E près si F, la personne se rapproche de son feu intérieur, de quelque chose d’essentiel pour elle, mais a le sentiment de ne pas encore pouvoir l’atteindre (si près du feu). La dépression sera, alors, un processus initiatique de passage du E vers le F, le retournement de la personne vers le feu intérieur de son âme (Luc BIGÉ).

Après cette lecture, peut-être que ce moment de vie empreint de tristesse, de culpabilité, d’un sentiment (du senti qui ment) de dévalorisation, et tourné vers un passé dans lequel nous nous sentons coincés, prendra une autre couleur, une couleur à inventer…

Ce que nous croyons perdu, un territoire, un amour, un rêve, une image de soi, une réputation, une famille, de l’air, de l’espace…demande à être réactualisé. Ce conflit intérieur qui consomme notre énergie de vie demande à être regardé, comme les consignes de sécurité de l’hôtesse dans l’avion, alors que nous détournons le regard en pensant, ou en espérant, ne pas être concernés.

Nous détournons le regard car il y a toujours quelque chose ou quelqu’un qui nous semble plus important que nous-même. Les autres d’abord…parfois avec l’espoir secret qu’ils nous en seront reconnaissants…bref la définition du sacrifice volontaire…pour la gloire !

J’ai une autre proposition : LES AUTRES D’ACCORD, MAIS MOI D’ABORD !

Ce n’est pas de l’égoïsme, c’est de l’intelligence de vie. Si vous ne commencez pas par vous-même, ce que vous donnez s’appelle du chantage affectif, certainement pas de l’amour.

Cette dualité à l’intérieur de nous qui nous fait croire que nous, c’est du vide, nous invite à rencontrer le plein de nous, à découvrir nos potentiels, à prendre conscience de notre valeur intrinsèque. Il y a de l’or en chacun d’entre nous. La dépression a un message :  « revenez dans le mouvement de votre vie ! ».

Revenir dans notre vie nécessite beaucoup d’énergie et l’accompagnant est la personne avec laquelle il est possible de passer de l’entropie, le désordre à l’intérieur de nous, à la cohérence entre nos pensées, notre ressenti et notre agir. L’accompagnant AQ-REL® se met à la disposition du transfert d’informations qui crée la vie en transformant le chaos.

La dépression invite à modifier la relation à soi-même avant tout. Nous ne pouvons rayonner qu’à partir de notre centre et cette énergie qui émane du plus profond de nous est disponible, en attente de notre réveil. Notre (r)évolution est notre oxygène !

Nadjejda Tretiakoff

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Etreinte

Etreinte désirée, je me sens à l’étroit,

Mon âme se souvient de l’odeur de la cage,

Les barreaux, la pénombre, l’absence, l’effroi,

L’impossibilité de se mouvoir, la rage.

Vulnérable, incrédule et encore là,

Regard vide, ligotée dans mes espérances,

Un cri d’enfant dans la gorge et le cœur las,

Epuisée, je cherche à rompre l’allégeance.

Je résiste, mes larmes cognent aux paupières,

Toutes-puissantes, elles supplient la liberté,

D’exhumer la petite fille mise en terre,

L’espoir trépasse…je sais, on ne guérit jamais.

Nadjejda Tretiakoff

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Le salaire de la peur : démonstration par l’absurde

En langue des oiseaux (Luc Bigé) la peur est peu R (peu d’air) manque de respiration, manque d’espace (peu d’aire), manque de capacité à aller sans but vers l’aventure (peu d’erre) et peu de temps pour vivre tout cela (peu d’ère).

La peur serait la recherche d’une paix initiale (FAUX SOUVENIR), le résultat d’un enfermement dans un paradis artificiel…où rien ne se passe jamais et l’expression d’un sentiment contradictoire : un désir de prendre tout son air…joint à l’impression d’un manque (UNE IMPRESSION) et de ne pouvoir y arriver.

Au tout début était la peur archaïque car dans son environnement naturel, l’homme était confronté à un danger réel : la fameuse loi de la jungle. Les faibles ne survivent pas et les prédateurs sont légion. L’illustration la plus connue est celle de l’opossum qui sait simuler la mort à s’y méprendre en ralentissant à l’extrême son rythme cardiaque jusqu’à copier la rigidité cadavérique. Son corps va sécréter une odeur de putréfaction telle qu’elle dissuade le prédateur de tout festin.

Notre cerveau archaïque, qui copie l’animal, peut nous leurrer avec un semblant de danger de mort et nous faire réagir comme le petit opossum, en bloquant toute vie à l’intérieur de nous. Au niveau physique comme au niveau psychique, nous nous pétrifions en attendant que le danger soit passé. Malheureusement, le danger, souvent une interprétation erronée de la situation, perdure et notre immobilisme avec lui. La stratégie de protection est devenue une prison, un camp de la mort.

Dans nos sociétés modernes, à la peur du prédateur, sont venues se substituer d’autres peurs.

La peur du manque de satisfaction des besoins essentiels. Je renvoie, ici, à la pyramide de Maslow : les besoins primordiaux ; la nourriture, l’eau, l’air, le sommeil, le territoire, la sécurité, faire partie d’un clan, donner du sens à sa vie et surtout ÊTRE AIMÉ, AIMER…et S’AIMER !

« Quelle que soit la cause apparente de la peur dans le REL, l’interprète averti découvrira sans peine qu’elle n’est qu’un masque posé sur la peur de la mort ». (Georges Romey)

Et lorsque la peur surgit, la violence devient assez rapidement, la réponse automatique. Violence envers l‘autre mais aussi envers soi-même avec la somatisation.

La mémoire de la peur est engrammée dans chacune de nos cellules et nous espérons que vivre malgré la peur soit une preuve de supériorité : seuls les dominants s’en sortiront en étant payés aux dépens des dominés par toute sorte de matérialités ( argent, pouvoir, possessions de biens…) .

C’est une quête de prises de conscience qui peut nous permettre de vivre autre chose.

La première prise de conscience est que notre libre-arbitre, dans le vortex de la peur, est inexistant. Je me réfère, ici, à la science quantique qui nous démontre que nous dépendons les uns des autres : nous sommes constitués de milliards d’électrons porteurs de champs d’information en mouvement, qui s’intriquent, s’enchevêtrent dans un espace quantique où toutes les ressources nécessaires sont à notre disposition, en partage. Des informations rayonnent de l’intérieur de nous vers l’extérieur. À aucun moment, nous ne sommes séparés les uns des autres : nous sommes liés, instantanément reliés. Alors la peur de ne pas exister ou de mourir qui nous pousse à déposséder l’autre, n’a aucun sens.

Le lieu de rencontre entre nous et l’autre, même lorsqu’il s’agit d’un conflit, est l’opportunité d’un saut quantique. La pression nous invite à créer du nouveau, pas du contraire.

L’Intelligence de Vie nous démontre que l’ennemi ne vient pas de l’extérieur, une compétition absurde alimente la peur, mais bien de l’intérieur dans notre refus à créer du nouveau. « J’évolue parce que tu grandis…plus je grandis, plus tu grandis…plus tu grandis, plus je grandis » ( Stephane Drouet).

Nos électrons se sont déjà rencontrés maintes fois et ont conservé la mémoire de nos échanges et en souvenir de Lavoisier : « Rien ne se perd, rien ne se gagne, tout se transforme et se conserve ».

Nous ne possédons rien qui n’appartienne déjà à tous. La peur nous berne en nous faisant croire que nous serons enfin heureux lorsque nous posséderons encore plus. Plus de reconnaissance, plus de gratitude, plus de valeur, plus « d’amis », plus d’amours…(plus d’emmerdes…).

Cette peur, nous la nourrissons sans cesse avec nos pensées.

«  Des études psychologiques récentes venant des États-Unis mettent en évidence que nous émettons environ 60 000 à 70 000 pensées par jour et que 99% sont les mêmes que la veille. En d’autres termes, nous recréons du passé en permanence ». (Stephane Drouet)

On comprend mieux pourquoi nous sommes épuisés par nos journées même si nous ne faisons rien…

Il nous reste 1% pour faire l’expérience du saut quantique en reliant notre inconscient individuel à l’inconscient collectif, champ d’information et de Vie, et en célébrant la rencontre conscient-inconscient d’où émanera notre créativité. Toute rencontre n’engendre pas un conflit !

C’est ce que je vous propose avec l’Approche Quantique du Rêve Éveillé Libre : aq-rel

Dans le REL, nous accédons, à travers les symboles, à de nouvelles informations qui nous attendaient…Dans ce vide, qui n’en est pas un (je vous renvoie à la lecture de présentation du site aq-rel.com), l’illusion de l’instabilité de nos ressentis est traduite par un scénario où tout devient clair car la peur n’y a pas accès.

La thérapeute que je suis, a la réputation d’être directe, pas d’être conventionnelle. C’est le rôle du thérapeute, à mon sens, de s’offrir au saut quantique. Ce mouvement vital ne se fait pas toujours dans la douceur. C’est l’état d’esprit nécessaire à la remise en mouvement de la Vie, mouvement qui passera coûte que coûte !

« La peur, l’angoisse qui se manifestent dans les productions oniriques sont des avatars d’une seule crainte : celle provoquée par la conscience que le processus d’évolution de la psyché, condition de réalisation de l’être, conduit aussi fatalement, au terme ultime de la dissolution du moi. La sérénité exige une adhésion confiante à l’imprévisible devenir, au mystère de la vie et de la mort ». (Georges Romey)

Nadjejda Tretiakoff

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Dans les hautes herbes

Parfum de muscade, de mousse et de terre,

Les sensations me traversent, je me laisse faire.

L’infiniment petit est ma porte d’entrée,

Un microcosme vit, offert, à ma portée.

Je me suis faite petite pour ne pas déranger,

La nature m’a faite grande, dilemme à négocier.

Pour ma sécurité, j’ai le goût du détail,

Face à l’immensité, je mène ma bataille.

Mes boucles dorées vibrent telles des antennes,

Libellule inspirée, les ailes en arc en ciel,

Je glisse sur une eau, miroir aux mille reflets,

Kaléidoscope étrange, ô combien j’aime,

Mes visions lucides de passages grand ouverts,

Sur un monde sans filtre pour enfants en paix,

Ici tout est translucide, ici tout est vrai,

Je crée à volonté, je me vois, j’en suis fière.

                                                 Nadjejda Tretiakoff

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Père manquant Fils manqué

Lorsque ce livre majeur de Guy Corneau m’est tombé dans les mains, je l’ai lu dans un premier temps, en pensant aux patients hommes. Très vite, je l’ai conseillé, aussi, aux femmes qui sont en relation avec ces hommes. Il m’est apparu clairement que pour ces hommes en ” père manquant “, devenir un compagnon de vie était un parcours semé d’embûches .

Les deux sous-titres de ce livre sont, à eux seuls, évocateurs de ce chemin : ” Que sont les hommes devenus ? ” et ” De la blessure à la parole “.

Guy Corneau incarnait cette ” fragilité de l’identité masculine ” avec tant d’humilité que lire ou offrir ce livre est déjà un acte d’amour.

J’ai eu la joie immense de partager avec Guy Corneau nombre de ses ateliers. Cheminer avec cet être humain exceptionnel a changé l’être humain que je suis. Sa douceur résonne encore dans ma vie.

PÈRE MANQUANT FILS MANQUÉ – LES EDITIONS DE L’HOMME

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Into the Wild

L’histoire vraie de Christopher McCandless est celle d’un enfant ” naturel “, (illégitime car né hors mariage) qui veut se perdre aux fins fonds de la nature pour se trouver… Cette nature va l’empoisonner et il y trouvera la mort.

L’attitude du père de familles (car il navigue sans vergogne entre deux familles à coups de mensonges et de violence) détermine la construction ” sans père ” finalement d’un homme ” sans racines “.

Les souffrances sont réelles pour un homme qui grandit aux côté d’un père violent. Dans cette histoire, le positionnement dans la lignée du père finit par être rejeté et seule la mort pourra l’en dégager.

Film écrit et réalisé par Sean Penn d’après l’œuvre de Jon Krakauer.

Nadjejda Tretiakoff

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Délicate la fleur fane le fruit désire mûrir !

Je rampe, je cours, je galope, je vole,

J’hume la terre, l’herbe humide, je foule le sol,

Je glisse, racine profonde, liane jusqu’au col,

Je glisse, je me décompose, je perds le pôle.

Là-bas, Aurore, tu ouvres les portes du ciel.

Ici, Espoir, cœur léger, je recueille le miel.

L’âme libérée d’un amour providentiel,

De l’autre côté, l’hiver en été au pluriel.

Force docile, déterminée, plus encore.

Un souffle fait vibrer tes cordes, mandore.

Des bulles de joie vous défient, multicolores,

Lois de la Vie, réveillez celle qui dort,

Pour, en boutons dorés, à nouveau, éclore.

Nadjejda Tretiakoff

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A Dangerous Method

Le triangle infernal.

Freud et Jung… comment deux expérienceurs de la psyché ayant subi l’inceste dans leur enfance ont été soumis, tôt ou tard, aux répercussions de ce traumatisme sexuel… ?

Aujourd’hui, il n’est plus possible de cacher l’inceste que Freud a vécu, imposé par son père. Dans une lettre à Wilhem Fliess datée du 8 février 1897, Freud fait état de « la fellation forcée qui provoque des symptômes chez ceux qui l’ont subie…malheureusement, mon propre père a été l’un de ces pervers et a été responsable de l’hystérie de mon frère et de celle de quelques-unes de mes plus jeunes sœurs ». Freud, coincé dans sa propre analyse où remettre en cause ses parents était refoulé, écrira bien plus tard douter que lui-même n’ait pas, comme ses frères et sœurs, subi l’inceste du père.

Dans « Correspondance », Jung livre à Freud qu’un acte similaire a été commis à son encontre par un responsable religieux et nombres de ces oncles étaient des pasteurs.

Freud et Jung étaient habités par la même terreur de devenir eux-mêmes abuseurs.

En aparté, ici, je rappelle aux thérapeutes qu’ils sont les représentants des images parentales, quelle que soit la technique utilisée. Cela signifie, en clair, qu’il leur est impossible d’entretenir une relation amoureuse ou sexuelle avec un patient, au risque de se trouver dans la position du parent incestueux.

Jung a, à mon sens, transgressé ce principe avec Sabina Spielrein. Jung était un abuseur dans cette relation. Le déni de l’adulte psychanalyste a laissé l’enfant victime en lui, revivre le traumatisme sexuel.

Freud décèdera dans une grande souffrance, d’un cancer de la mâchoire. On peut y déceler si l’on est adepte du décodage biologique, un symptôme d’une fellation forcée.

Dans ce film de David Cronenberg, la rivalité des deux hommes est abordée autour d’une femme mais c’est sous l’angle du triangle infernal…le parent, l’enfant et la sexualité que je perçois leur terreur d’enfant de répéter ce qu’ils ont vécu.

Nadjejda Tretiakoff.

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Se libérer de la détention psychologique

Il ne s’agit pas, ici, de la détention qui prive de liberté, suite à une décision de justice.

Il s’agit d’une détention perfide, engrammée au plus profond d’un être qui se sent enfermé dedans et enfermé dehors.

L’engramme est le résultat de modifications électriques et biochimiques qui stimulent les connectivités nerveuses. La mémoire, l’apprentissage et le comportement sont interdépendants. L’épinéphrine, la beta endorphine et l’ACTH relâchées pendant un stress intense génèrent l’encodage d’un comportement ou d’une croyance. L’hyper émotion crée une hyper mémoire erronée :  l’engramme s’exprime par « c’est plus fort que moi ».

La détention psychologique est la conséquence d’ une violence répétée qui ne laisse pas de trace visible. Une violence qui contraint un enfant à obtempérer sous la menace.

L’enfant se sent en captivité sensoriellement car les stimuli ciblent une zone particulière, visuelle ou auditive, principalement. C’est aussi une captivité perceptive car sous l’effet de ces stimuli, les informations reçues étant contradictoires, impossible de discerner le vrai du faux.

La capacité mnésique s’en trouve aussi limitée. Se souvenir peut être perçu par l’inconscient comme un empêchement à maintenir l’intégrité physique et psychique : l’ennemi est dans la maison ! L’adulte, par la suite, adapte son mode de fonctionnement avec son environnement, ses capacités de communication, ses réflexes d’interactions sociales, en écho à un effet cumulatif de violences invisibles. Très simplement, la personne ne se sent pas en sécurité car son cerveau la maintient dans l’angoisse d’un danger imminent, dans une prison émotionnelle.

On peut se demander si les addictions aux jeux vidéo ne seraient pas une pratique désespérée pour s’approprier des super pouvoirs, des armes, et jouer, en gagnant cette fois, contre un envahisseur dangereux. En rejouant à l’infini, on pourrait modifier la fin et vaincre, pour une fois, un danger omniprésent.

Ce danger, c’est celui que représentent les images parentales lorsque les parents ont été insuffisamment bons, absents, défaillants, maltraitants, toxiques, pervers, abuseurs…Et le seul acte répréhensible de l’enfant serait de désirer être aimé tel qu’il est…d’avoir un besoin vital d’être respecté.

Le mot magique est « image ». C’est intéressant ; image et magie s’écrivent avec les mêmes lettres…

« Imago paternelle et imago maternelle sont des représentations qui se fixent dans l’inconscient et orientent le mode de conduite et d’appréhension d’autrui ».

Le REL ( Rêve Éveillé Libre) propose à travers un cheminement symbolique, de : « Se reconstituer des racines généalogiques satisfaisantes » « Une recherche de positionnement équilibré de la psychologie par rapport aux images parentales » «  Faire l’expérience de la Totalité » «  Accès à l’autonomie et libérations des sentiments réels » «  L’ambivalence attachement/détachement » « Un agrandissement de l’être et un renforcement du sentiment d’identité » «  Le couple parental vécu comme ce qu’il est et non plus comme deux acteurs d’un drame » …( Guide des rêves de Georges Romey).

Le cheminement à travers une cure de REL génère de nouveaux apprentissages. Il ne s’agit pas d’oublier. Les symboles déposés dans les rêves encodent de nouvelles possibilités car l’influx nerveux qui produit ces images sollicite le développement de nouveaux neurones de liaison, de nouveaux contacts synaptiques.

La magie est là : c’est en créant de nouveaux chemins que les anciens deviennent désuets car non utilisés. Par choix, en s’impliquant, une autre réalité devient possible. Le danger n’est plus imminent, en fait, il a déjà eu lieu ! L’inconscient, avec le REL, opère une « mise à jour ».

AQ-REL ( approche quantique de rêve éveillé libre) propose de s’échapper de la détention psychologique en empruntant des chemins de liberté !

Nadjejda Tretiakoff

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Entre mes mains

J’imagine…Papillons de nuit et du soir,

En exil du labyrinthe, libérés de l’espoir,

Notes vibrantes sans clé jouant dans le noir,

Osent les froissements d’ailes, savourent leur pouvoir.

Je rêve…Entremêlés chien et loup sans fard,

Souffles crépusculaires, fantômes brouillards,

Je vous esquive, intriguée, nobles vieillards,

Je me faufile, disparaître est un art.

Je crée…Bleu de mer, univers insondable,

Pourpre profond, je me rends désirable,

Ocre vénusien, beauté impalpable,

Noir mouvant… lumière inaliénable.

                       Nadjejda Tretiakoff

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