Ce monde a besoin de la réalisation de nos rêves…pour le présent et pour le futur !

Regarder derrière nous, c’est répéter encore et encore les mêmes incompréhensions…

Cette citation d’Albert Einstein me fait sourire : “La folie, c’est de faire la même chose encore et encore et de s’attendre à un résultat différent”. Et j’aime ajouter celle de Mark TWAIN : “Si on fait ce que l’on a toujours fait, on aura ce que l’on a toujours eu”.

Pourtant, nous avons à notre disposition…notre créativité nourrie par notre intuition, notre imagination, nos sensations d’être vivants. Les êtres d’émotion que nous sommes sont riches de tous nos rêves pour le présent et pour le futur.

Il nous restent à croire en nous et cette foi préexiste dans notre cœur…

La Journée Mondiale du Rêve nous appelle, chaque année le 25 septembre, à partager nos créations, les petites et grandes réalisations entretenues chaleureusement tout au long d’une année.

Le 25 septembre est une fête à célébrer avec les cœurs, ensemble !

Moments de joie garantis en visionnant la vidéo 2024.

Et cette journée attend sa célébration auprès de l’ONU !!!

Nadjejda Tretiakoff ✨🌎✨ Exploratrice de l’INTELLIGENCE de VIE

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Derrière un rêve, il y a…

Derrière chaque rêve, il y a des rencontres et des partages…

Être né avec un don, être né au bon endroit ne suffit pas à la réalisation d’un rêve !

François RAGOT est le directeur artistique de l’Orchestre Régional de Canet en Roussillon, des Formations de Chambre des Pays Catalans et aussi d’un Collectif de musiciens « Mare Nostrum Musicae »…

François a travaillé avec des Maîtres du violoncelle, a remporté des prix de Virtuosité, d’Excellence et est sollicité dans de nombreux pays.

Évident pour qui émane d’une famille de luthiers et de musiciens ?

Peut-être pas…la vocation de François se présente « tardivement » et sa famille met en avant les valeurs « travail » et « persévérance ».

Lorsque vous avez le bonheur d’échanger avec François Ragot, ce qui touche l’âme c’est son humilité, un homme simple qui rayonne la générosité.

Et lorsque vous avez la joie d’entendre François jouer du violoncelle façonné par son grand-père, luthier, les vibrations vous traversent et vous enveloppent…dans un instant d’éternité…

Ça tourne pour la Journée Mondiale du Rêve…notre dernière interview est « dans la boîte » ! La post-production va pouvoir commencer…

Le film documentaire « Est-ce que votre rêve vous a trouvé ? » nous remplit d’une JOIE que nous partagerons bientôt lors de sa projection…

Nadjejda Tretiakoff ✨🌎✨ Exploratrice de l’INTELLIGENCE de VIE

Captation et montage Daniel Castello,Quêtes Quantiques

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Co-naître…

Je me reveille en sûr-sot de ma sieste car j’ai oublié mon pass sanitaire. 

Je rentre chez moi et sur le chemin du retour mes con-génères m’ont prévenu des contrôles de peau-lisse. Je me regarde dans le rétroviseur et je ne vois que de l’acné, tous ces voyants pour me faire remarquer. Aucune chance de passer les contrôles. Je me mets la pression et pas à demi, surtout que boire au volant n’est pas la solution.

Sur le retour, j’évite le vaccinodrome car j’ai déjà eu ma piqûre de rappel. J’évite aussi tous les théâtres du rond point, ces giratoires au sens obligatoire que doivent suivre les gens. Je ne veux pas faire partie de l’exode des cerveaux et je dois me libérer de ma zone d’inconfort habituel. J’observe le long du chemin tous ces panneaux avec ces promesses de campagne et moi qui pensais trouver une campagne de promesses !

Je dois suivre mon canal de communication intérieure. Sanitairement parlant, j’ai besoin de prendre l’air et de sortir. Ça devient un Je de passe-passe. Je me demande même si je passe ou trépasse et pourtant je ne suis que de passage sur cette terre. Et puis il n’est pas question que je rende l’âme. J’ai encore trop de choses à faire. Dans tous les cas si je ne suis pas sage, quelqu’un va me tirer les oreilles…

Des masques j’en ai de toutes les formes et couleurs. J’ai mon masque de peur, de tristesse et même de colère. Le seul que j’ai du mal à optimiser est celui de la joie. Pourtant, l’euphorie de la peur avec tous ces va-riants devrait me redonner le sourire. Il faut vrai-ment que je trouve un passe temps. Je pourrais aller surfer sans créer du vague à l’âme mais la mer est calme. Je ne veux pas errer comme une âme en peine et devenir congé-diable car ce ne serait que passer mon âme au diable.

Alors je fais le tour de mon jardin suspendu. Ça me fait du bien de regarder cette plante. Je l’ai faite germer d’un noyau, partie centrale et fondamentale de toute vie et maintenant, elle est assez grande pour être couverte de feuilles. J’admire la nature et sa simplicité et ça me rend très heureux qu’elle accueille ma participation à ce cycle de vie avec un simple noyau, d’un fruit qu’elle m’avait généreusement offert.

Je ne sais pas si je dois pleurer ou rire alors, je pleure de joie…

Philippe Lafargue

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