D’où vient l’Amour ?

« Voici mon secret », dit le renard, « Il est très simple : on ne voit bien qu’avec le cœur. L’essentiel est invisible pour les yeux ».  

« L’essentiel est invisible pour les yeux », répéta le petit Prince afin de se souvenir. 

« Les hommes ont oublié cette vérité » reprend le renard, « Mais tu ne dois pas l’oublier. Tu deviens responsable pour toujours de ce que tu as apprivoisé ».

Je me suis inspiré de ce passage du Petit Prince, d’Antoine de Saint Exupéry pour retrouver d’où vient l’Amour.

Et les mots du dialogue entre le Petit Prince et le renard INVISIBLE. YEUX. CŒUR. OUBLIER. SECRET seront mes guides.

Nous avons toutes, tous un CŒUR. Nous l’avons APPRIVOISÉ en le mettant à l’intérieur de nous. Il nous deviendra familier si nous l’accueillons, chaque jour, en conscience. Nous en sommes RESPONSABLES. C’est depuis ce 1er AMOUR que nous aimons, que nous choisissons d’aimer.

Nous sommes tout l’AMOUR que nous avons pour nous-même.

Nadjejda Tretiakoff ✨🌎✨ Exploratrice de l’INTELLIGENCE de VIE

En suivant, un extrait de la conférence donnée le 14 fevrier 2025

Mes lectures : Dr Olivier Soulier, David Wilcock, Bruce Lipton, Denis Bédat…

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La lumière de l’âme.

Nous avons, dans notre cœur, un jardin extraordinaire, une floraison en cohérence avec les saisons…

Nous avons, dans notre cœur, la Vie pleine et entière à notre disposition…

Tout est là, depuis toujours et pour toujours car le temps s’est dissout en nous offrant l’Éveil…

L’Éveil nous rapproche de la Conscience de notre essence : le partage de la joie à l’infini et sans attente…

Nous sommes, chacune, chacun, des créations de l’Amour dans ce jardin et notre évolution nous invite à vivre naturellement le dessein de notre âme.

« Est-ce que ta vie est le reflet de qui tu es ? » (Pierre Lessard, entretien pour Quêtes Quantiques, mai 2024)

La mémoire de la plénitude d’être soi dans le partage demande, à chaque instant, à être réactivée.

Les épreuves que nous rencontrons ne sont que des habitudes, une emprise à notre besoin de preuves. La Vie ne se prouve pas, elle se découvre, elle s’accueille dans toutes ses dimensions, dans toutes ses vibrations. La Vie EST.

Est-ce qu’il y a autre-chose que l’Amour ? Est-ce qu’il y a autre-chose que la lumière de notre âme ? Est-ce qu’il y a autre-chose que la manifestation de l’illimité de la Vie ?

Nous serons, sur notre chemin, bousculés, dérangés…et surtout nous serons transformés, renouvelés…le cœur en ouverture !

Nadjejda Tretiakoff ✨🌎✨ Exploratrice de l’INTELLIGENCE de VIE

Captation et montage Daniel Castello,Quêtes Quantiques

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La transmission : l’art du Psy

Depuis plusieurs mois, un mot circule…le mot « transmission ».

Avec curiosité, je l’ai suivi !

Je suis allée le chercher dans ses origines…Transmettre : du latin transmittere envoyer de l’autre côté, faire passer au-delà puis c’est devenu céder un droit, un bien, à quelqu’un, faire passer un bien matériel. Mais aussi un terme de médecine en parlant de la circulation des humeurs. Et récemment, transmission par contagion d’une maladie, d’un agent pathogène d’un individu à un autre.

Étonnamment, en mécanique, la courroie de transmission transmet une consigne, un ordre. Au regard des neurosciences, les neurotransmetteurs sont des composés chimiques libérés par les neurones et agissant sur d’autres neurones.

« Trans » dans la langue française exprime au-delà, par-delà, à travers et marque le passage, le changement.

La mission, quant à elle, était une libération puis une tâche confiée à une personne avec ou sans idée de déplacement mais aussi une mission religieuse comme l’évangélisation.

Où vais-je avec toutes ces informations ?

Dans ce merveilleux film de Tatsushi Omori « Dans un jardin qu’on dirait éternel », la transmission de La Cérémonie du Thé est une transmission de l’Art de la Vie.

Transmettre, pour le psy, est un art bien difficile qui suppose l’effacement de soi-même, un don…pourtant, parfois, celui qui transmet l’oublie et préfère choisir un auditoire tout acquis. À ce moment, selon un principe bien connu en psychologie ; la projection, notre disponibilité naturelle à l’autre n’est plus une quête de partage mais seulement un moyen de nous venger de l’adversité et d’obtenir ce qui nous a manqué.

Donner est une expression forte et inconsciente du conflit entre la pulsion de vie et la pulsion de mort. C’est aussi l’illustration d’un mécanisme de défense contre des ennemis invisibles, familiers et opportunistes logés à grand renfort d’énergie, à l’intérieur de notre monde intérieur secret parfois même, obscur. Et tout cela en faisant l’économie de la remise en cause personnelle, seul accès authentique à ce besoin primal à l’intérieur de nous : le besoin essentiel d’être.

Car avoir quelque chose à transmettre est la preuve qu’ « être » a existé  et non se perdre dans une représentation idéalement choisie empruntant la frêle passerelle entre le passé et l’avenir qui permettrait d’échapper à ses angoisses.

Celui qui transmet est parfois un Narcisse des temps modernes : il est amoureux d’un Autre qui n’est que le reflet de sa propre image, une forme d’auto érotisme de l’Idéal de soi. Eros est rarement absent de nos pensées et de nos intentions.

Le don implique une identité partielle avec le choix sur lequel il porte. L’inconscient est projeté dans ce choix, soumis à des forces et à des influences imperceptibles et pourtant bien réelles. Quelle partie de nous fait ces choix ? La partie infantile primitive à la recherche du temps perdu passé auprès du sein de la mère ? La partie qui voudrait s’autonomiser de cette période de fusion et proclamer au monde entier son indépendance ? L’individuation enfin gagnée ?

Dans nos choix de don, quels qu’ils soient, la profondeur de l’inconscient n’a pas de limite. Elle nous offre la possibilité de reconnaître la part de nous qui est projetée dans ce choix afin de pouvoir l’intégrer avant d’espérer pouvoir se servir de ceux à qui l’on donne comme révélateurs de notre générosité.

Car c’est là que se situe la magie du don : il est symbolique. Ainsi, il exprime une partie visible mais surtout il s’adresse à l’infini, à l’invisible.

Je pense à cette maxime de Nietzsche, ” Quand tu regardes l’abîme, l’abîme regarde en toi ” et il me semble que ” Quand tu regardes ta façon de transmettre, ta façon de transmettre regarde en toi “.

Ce qui se partage est immatériel avant tout. Ce que nous transmettons dans nos lieux privilégiés d’accueil de l’Autre, c’est la Conscience d’être soi-même. Nous sommes des passeurs de Vie. Nous n’attendons pas de reconnaissance pour ce qui se passe dans l’invisible. Nous donnons de tout notre cœur et la suite ne nous appartient pas !

Nadjejda Tretiakoff

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La Conscience du futur

Si un poussin peut influencer la trajectoire d’un petit robot programmé pour effectuer des parcours aléatoires, que pourrait réaliser un être humain décidé à expérimenter les possibilités de sa Conscience ?

Créer un avenir avec un libre arbitre de Cohérence ? d’ Harmonie ? de Vivance ? de Reliance ? de Merveilleux ?

Le futur peut être modifié sous l’influence de notre Conscience individuelle et/ou collective.

Et si cet être humain devenait un collectif de Conscience…

Voici l’apport de la science quantique : nous pouvons passer du possible au réalisable à partir de notre Conscience et de la responsabilité de nos pensées. Les pensées qui viennent du cœur sont magnifiquement branchées sur un futur qui n’attend que nous…peu importe le chemin.

L’Approche Quantique du Rêve Éveillé Libre nous relie à nos potentiels insoupçonnés qui existent déjà.

Nadjejda Tretiakoff

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Le rituel de l’amour

Le rituel, en sanskrit, est une articulation, un geste sacré à un moment déterminé.

C’est le moment juste où l’inconscient individuel a besoin de l’inconscient collectif cher à Gustav Jung.

C’est la demande intentionnelle posée dans le Monde du Milieu qui active les neurones entre eux afin que l’inattendu rejoigne le possible dans les Mondes d’en Haut et d’en Bas.

L’intention trouve son efficacité dans la synchronisation des cerveaux du chamane et du patient.

Nos sociétés, dites civilisées, ont banni les rituels en les reléguant au rang d’un primitif archaïque.

Mais sans le rituel, il ne peut y avoir de conscience de l’avant, du pendant et de l’après.

Le rituel ponctue un évènement et lui donne une direction. L’intention posée dans le rituel génère une énergie insoupçonnée et un pouvoir créateur illimité.

Le chamane est un expert du rituel. Son tambour, son chant l’accompagnent dans toutes les étapes du voyage. Ses Esprits Alliés balisent son chemin de rêve où une autre réalité se dessine, perceptible grâce à la confiance aveugle placée dans l’invisible.

Cette confiance émane du cœur du chamane et est proposée au cœur du patient.

Le rituel est rigoureux : il nécessite une véritable demande consciente, des actes et une foi inébranlable dans la réalisation.

Demandez-vous ce que vous désirez modifier dans votre vie…visualisez la concrétisation du changement…observez les ressentis partagés par votre corps…est-ce qu’ils ressemblent à une sensation d’ouverture, de joie, d’optimisme…ou plutôt une sorte de contraction voire-même de peur ; si c’est le cas, réitérez votre demande jusqu’à ressentir un accord à l’intérieur de vous…et puis mettez en place les étapes que vous vous invitez à vivre.

Tous vos sens sont à présent en action et votre inconscient commence à intégrer les étapes du changement. Il ne vous reste plus qu’à vous demander si vous serez le premier à l’ observer ou si un proche vous le signalera…

La clé de la réussite réside dans l’amour !

J’ose, ici, proposer l’amour  comme énergie inspiratrice et créatrice.

Pour Luc Bigé ( Petit dictionnaire en Langue des Oiseaux) Amour : « Ame our » la lumière de l’âme. Plus littéralement, il s’agit de la force créatrice (A) manifestée (M) dans la totalité d’une situation (O) qui s’ouvre à tous les possibles (U) et diffuse ensuite dans toutes les directions (R). Donc l’amour suppose un triple mouvement : un élan vers l’autre dans sa totalité, l’ouverture de notre conscience à tout ce que nous n’avions pas vu et un dynamisme partagé. »

Pour Georges Romey ( Le guide des rêves) « … Dans le vocabulaire d’images, les termes amour et aimer agissent à la manière d’un aimant. Ils manifestent l’attraction qui tend à rapprocher des potentialités de sens contraires. L’amour, dans la dynamique de l’imaginaire, assume une fonction d’union des opposés. Autour des mots amour, aimer, rêveuses et rêveurs expriment un sentiment de rapprochement de valeurs contraires et la transformation de ces antagonismes en complémentarités.

La mort et la vie, le bien et le mal, l’animus et l’anima, les mouvements centripètes et centrifuges et tout ce qui s’oppose ordinairement apparaissent soudain comme les éléments complémentaires qui concourent aux équilibres sans lesquels la vie ne serait pas.

Cette acceptation de l’amour, telle que la révèle l’observation des rêves (…) décuple la force de ce mot en faisant de l’amour le grand unificateur, une sorte de chef d’orchestre des énergies universelles ».

Pour Khalil Gibran ( Le prophète) « Parlez-nous de l’Amour…Quand l’amour vous fais signe, suivez-le,

Bien que ses voies soient dures et escarpées.

(…) Et lorsqu’il vous parle, croyez en lui,

Malgré que sa voix puisse briser vos rêves comme le vent du nord saccage vos jardins.

(…) L’amour ne donne que de lui-même et ne prend que de lui-même…

(…) Car l’amour suffit à l’amour… ».

Pour Alain Rey ( Dictionnaire historique de la langue française) « Amour à l’origine est du genre féminin… et le premier emploi du mot parle de bienveillance divine… »

L’amour répond aux lois de la science quantique. C’est une matière invisible qui bénéficie de son propre libre-arbitre. Cette holomatière traverse les distances et les obstacles. Elle est non-locale, non séparable. Elle vibre et rayonne. Elle est imprévisible. Elle interagit entre nous, notre conscience et le reste de l’univers. Elle se moque de la ligne du temps : elle voyage dans le passé pour modifier le futur. Son énergie est intelligente, se nourrit de l’intention qui émane du cœur et nous rappelle que nous sommes solidaires les uns des autres dans le but d’une cohérence harmonieuse.

L’amour est thérapeutique. Le chamane appelle, avec humilité, sa puissance guérisseuse. Ainsi paré, il voyage et rencontre les mal-êtres et les maladies pour en revenir avec les informations nécessaires à son patient sur son propre chemin initiatique. Il fusionne, dans cette aventure meta-humaine, avec une mémoire originelle, des quanta enchevêtrés, intriqués. C’est une mémoire d’avant la maladie. L’âme, l’esprit et le corps du chamane comme ceux du patient coparticipent à cette dynamique qui tend vers l’unification de l’Être. Mais seul le patient pourra agir sur son devenir.

N’en déplaise aux sceptiques, ce pouvoir de l’amour est avant tout électro-magnétique et peut être mesuré par un électrocardiogramme en synergie avec l’électroencéphalogramme.

Ce champ d’énergie reconnaît une intention et y répond. Mais plus important encore, ce champ d’énergie influence la matière.

Alors, il est temps de créer nos rituels de l’amour et de veiller à nos demandes car elles sont très souvent exaucées !

Nadjejda Tretiakoff

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