Viens Rêver

L’Approche Quantique du Rêve d’Éveil®

Apologue de la Perle : Une goutte de pluie tomba du sein des nuages ; en voyant la mer immense, elle demeura toute confuse. « Que suis-je, dit-elle, à côté de l’Océan ? En vérité, je me perds et disparais dans son immensité ! »

En récompense de cet aveu modeste, elle fut recueillie et nourrie dans la nacre d’un coquillage ; par les soins de la providence, elle devint une perle de grand prix et orna le diadème des rois. Elle fut grande parce qu’elle avait été humble, elle obtint l’existence parce qu’elle s’était assimilée au néant.

Saadi ; Le jardin des roses et des fruits « De l’Humilité ».

L’atome, dans son infiniment petit, propose deux messages : l’intrication et la quantition.

L’intrication : les quanta interagissent entre eux en générant des ondes. Ces ondes créent le mouvement de la Vie, une Vie riche à l’infini d’information et d’énergie qui palpite, pulse, apparait et disparait.

La quantition : la séparation est une illusion !

La cellule, dans son infiniment petit ; un noyau, un cytoplasme et une membrane, propose deux messages : la Loi de la Conservation et la Loi de la Manifestation.

La Loi de la Conservation : le noyau est détenteur de l’hérédité mais si la cellule est énucléée, elle poursuit quelques temps son chemin de vie.

La Loi de la Manifestation : la membrane grâce aux échanges intérieur/extérieur est le lien d’adaptation, d’intégrité et de l’intelligence de Vie.

L’œuf issu de la fécondation entre l’ovule et le spermatozoïde, nous en devenir, est un amas de cellules se multipliant…en dehors du temps et de l’espace…qui se fait le miroir de l’atome dans sa partie vibratoire…en dehors du temps et de l’espace…

L’Approche Quantique du Rêve d’Éveil vous invite à devenir le témoin de ce miroir…

L’œuf humain et l’atome se connectent dans l’univers…uni, vers.

Pendant le rêve d’éveil, l’observateur devient ce qu’il observe et reçoit le soin de tous les possibles. Au réveil, le choix d’un de ces possibles le guidera vers sa complétude, vers son Éveil !

Éveil  pour Luc Bigé : « La personnalité consciente à la rencontre des trois plans, le physique, le sensible et l’intelligible diffuse la Lumière sur la Terre ».

L’univers a une histoire ; 13,8 milliards d’années. Une histoire riche d’expériences !

L’Approche Quantique du Rêve d’Éveil® vous inspire cette histoire et les ressources rendues disponibles par toutes ces expériences !

Nadjejda Tretiakoff ✨🌎✨ Exploratrice de l’INTELLIGENCE de VIE

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“Comment saurais-tu ce qui est sur le sommet du ciel, lorsque tu ne sais pas même qui se trouve dans ta maison.”

Je remercie Saadi, immense poète persan du 13e siècle, pour ses vers sublimes. Écrits dans le LIVRE PREMIER ” Sur les avantages du silence “, ils accompagnent mon travail dans la relation patient-thérapeute.

L’Approche Quantique du Rêve d’ÉveiL se relie au cœur car le cœur est intelligent, relié à la Vie et en demande de changement à chaque pulsation.

Pour Georges Romey « L’intelligence du cœur traduit la perception subtile qui relie l’homme à son semblable, à son environnement proche, à l’univers et à la nature divine ».

Et pour Luc Bigé « Le cœur sait s’engager personnellement et totalement dans le Tout pour s’ouvrir à plus grand que soi et entrer dans le partage ».

L’Approche Quantique du Rêve d’ÉveiL nous invite à devenir créateur de notre Vie en utilisant le rêve : « La mise en mouvement de la Vie dans la personne afin de renouveler le dynamisme de l’être en le reconnectant à l’univers intime qui le fonde ».

Tout devient possible, c’est comme ça !

Nadjejda Tretiakoff.

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Le salaire de la peur : démonstration par l’absurde

En langue des oiseaux (Luc Bigé) la peur est peu R (peu d’air) manque de respiration, manque d’espace (peu d’aire), manque de capacité à aller sans but vers l’aventure (peu d’erre) et peu de temps pour vivre tout cela (peu d’ère).

La peur serait la recherche d’une paix initiale (FAUX SOUVENIR), le résultat d’un enfermement dans un paradis artificiel…où rien ne se passe jamais et l’expression d’un sentiment contradictoire : un désir de prendre tout son air…joint à l’impression d’un manque (UNE IMPRESSION) et de ne pouvoir y arriver.

Au tout début était la peur archaïque car dans son environnement naturel, l’homme était confronté à un danger réel : la fameuse loi de la jungle. Les faibles ne survivent pas et les prédateurs sont légion. L’illustration la plus connue est celle de l’opossum qui sait simuler la mort à s’y méprendre en ralentissant à l’extrême son rythme cardiaque jusqu’à copier la rigidité cadavérique. Son corps va sécréter une odeur de putréfaction telle qu’elle dissuade le prédateur de tout festin.

Notre cerveau archaïque, qui copie l’animal, peut nous leurrer avec un semblant de danger de mort et nous faire réagir comme le petit opossum, en bloquant toute vie à l’intérieur de nous. Au niveau physique comme au niveau psychique, nous nous pétrifions en attendant que le danger soit passé. Malheureusement, le danger, souvent une interprétation erronée de la situation, perdure et notre immobilisme avec lui. La stratégie de protection est devenue une prison, un camp de la mort.

Dans nos sociétés modernes, à la peur du prédateur, sont venues se substituer d’autres peurs.

La peur du manque de satisfaction des besoins essentiels. Je renvoie, ici, à la pyramide de Maslow : les besoins primordiaux ; la nourriture, l’eau, l’air, le sommeil, le territoire, la sécurité, faire partie d’un clan, donner du sens à sa vie et surtout ÊTRE AIMÉ, AIMER…et S’AIMER !

« Quelle que soit la cause apparente de la peur dans le REL, l’interprète averti découvrira sans peine qu’elle n’est qu’un masque posé sur la peur de la mort ». (Georges Romey)

Et lorsque la peur surgit, la violence devient assez rapidement, la réponse automatique. Violence envers l‘autre mais aussi envers soi-même avec la somatisation.

La mémoire de la peur est engrammée dans chacune de nos cellules et nous espérons que vivre malgré la peur soit une preuve de supériorité : seuls les dominants s’en sortiront en étant payés aux dépens des dominés par toute sorte de matérialités ( argent, pouvoir, possessions de biens…) .

C’est une quête de prises de conscience qui peut nous permettre de vivre autre chose.

La première prise de conscience est que notre libre-arbitre, dans le vortex de la peur, est inexistant. Je me réfère, ici, à la science quantique qui nous démontre que nous dépendons les uns des autres : nous sommes constitués de milliards d’électrons porteurs de champs d’information en mouvement, qui s’intriquent, s’enchevêtrent dans un espace quantique où toutes les ressources nécessaires sont à notre disposition, en partage. Des informations rayonnent de l’intérieur de nous vers l’extérieur. À aucun moment, nous ne sommes séparés les uns des autres : nous sommes liés, instantanément reliés. Alors la peur de ne pas exister ou de mourir qui nous pousse à déposséder l’autre, n’a aucun sens.

Le lieu de rencontre entre nous et l’autre, même lorsqu’il s’agit d’un conflit, est l’opportunité d’un saut quantique. La pression nous invite à créer du nouveau, pas du contraire.

L’Intelligence de Vie nous démontre que l’ennemi ne vient pas de l’extérieur, une compétition absurde alimente la peur, mais bien de l’intérieur dans notre refus à créer du nouveau. « J’évolue parce que tu grandis…plus je grandis, plus tu grandis…plus tu grandis, plus je grandis » ( Stephane Drouet).

Nos électrons se sont déjà rencontrés maintes fois et ont conservé la mémoire de nos échanges et en souvenir de Lavoisier : « Rien ne se perd, rien ne se gagne, tout se transforme et se conserve ».

Nous ne possédons rien qui n’appartienne déjà à tous. La peur nous berne en nous faisant croire que nous serons enfin heureux lorsque nous posséderons encore plus. Plus de reconnaissance, plus de gratitude, plus de valeur, plus « d’amis », plus d’amours…(plus d’emmerdes…).

Cette peur, nous la nourrissons sans cesse avec nos pensées.

«  Des études psychologiques récentes venant des États-Unis mettent en évidence que nous émettons environ 60 000 à 70 000 pensées par jour et que 99% sont les mêmes que la veille. En d’autres termes, nous recréons du passé en permanence ». (Stephane Drouet)

On comprend mieux pourquoi nous sommes épuisés par nos journées même si nous ne faisons rien…

Il nous reste 1% pour faire l’expérience du saut quantique en reliant notre inconscient individuel à l’inconscient collectif, champ d’information et de Vie, et en célébrant la rencontre conscient-inconscient d’où émanera notre créativité. Toute rencontre n’engendre pas un conflit !

C’est ce que je vous propose avec l’Approche Quantique du Rêve Éveillé Libre : aq-rel

Dans le REL, nous accédons, à travers les symboles, à de nouvelles informations qui nous attendaient…Dans ce vide, qui n’en est pas un (je vous renvoie à la lecture de présentation du site aq-rel.com), l’illusion de l’instabilité de nos ressentis est traduite par un scénario où tout devient clair car la peur n’y a pas accès.

La thérapeute que je suis, a la réputation d’être directe, pas d’être conventionnelle. C’est le rôle du thérapeute, à mon sens, de s’offrir au saut quantique. Ce mouvement vital ne se fait pas toujours dans la douceur. C’est l’état d’esprit nécessaire à la remise en mouvement de la Vie, mouvement qui passera coûte que coûte !

« La peur, l’angoisse qui se manifestent dans les productions oniriques sont des avatars d’une seule crainte : celle provoquée par la conscience que le processus d’évolution de la psyché, condition de réalisation de l’être, conduit aussi fatalement, au terme ultime de la dissolution du moi. La sérénité exige une adhésion confiante à l’imprévisible devenir, au mystère de la vie et de la mort ». (Georges Romey)

Nadjejda Tretiakoff

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